Quel est aujourd'hui pour vous le problème concret le plus important dans le domaine de l'environnement ?
La biodiversité et la disparition de certaines espèces
Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ?
arrêter immédiatement les pesticides, alors que leur production vient d'être prolongée de manière scandaleuse, pourquoi ? Il n'y a plus d'insectes, plus d'abeilles, comment se fera la pollinisation ? Il n'y a plus d'oiseaux, plus de hérissons, plus de lapins.
Diriez-vous que votre vie quotidienne est aujourd'hui touchée par le changement climatique ?
Non
Si oui, de quelle manière votre vie quotidienne est-elle touchée par le changement climatique ?
Le changement climatique n'est pas dû à l'homme, il y en a eu depuis toujours, il faut arrêter de nous culpabiliser, et de nous imposer des solutions aussi imbéciles que l'éolien ou le photovoltaïque, aussi pollueurs l'un que l'autre.
À titre personnel, pensez-vous pouvoir contribuer à protéger l'environnement ?
Oui
Si oui, que faites-vous aujourd'hui pour protéger l'environnement et/ou que pourriez-vous faire ?
tri des déchets
Qu'est-ce qui pourrait vous inciter à changer vos comportements comme par exemple mieux entretenir et régler votre chauffage, modifier votre manière de conduire ou renoncer à prendre votre véhicule pour de très petites distances ?
En zone rurale, loin de tout et sans transport en commun, nous sommes tributaires de notre voiture pour tout. Par ailleurs, nous faisons attention à ne pas trop chauffer.
Quelles seraient pour vous les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier pour vous inciter à changer vos comportements ?
voir ci-dessus, il n'y a pas d'alternative à la voiture pour tout déplacement C'est ce qui se passe dans toutes les zones rurales. Eh oui, c'est comme ça !
Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu'il existe des solutions alternatives plus écologiques ?
Oui
Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à changer de mode de chauffage ?
aide au financement à la géothermie
Avez-vous pour vos déplacements quotidiens la possibilité de recourir à des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle comme les transports en commun, le covoiturage, l'auto-partage, le transport à la demande, le vélo, etc. ?
Non
Si non, quelles sont les solutions de mobilité alternatives que vous souhaiteriez pouvoir utiliser ? [Autres]
Nous sommes loin de tout, il n'y a pas de ""solutions de mobilité alternative"" possibles
Et qui doit selon vous se charger de vous proposer ce type de solutions alternatives ?
Dans notre cas, ainsi que pour les plus de 50% de français habitant en zone rurale, il n'y a pas de solutions alternatives, c'est la voiture, ""point barre"".
Que pourrait faire la France pour faire partager ses choix en matière d'environnement au niveau européen et international ?
arrêter l'éolien
Y a-t-il d'autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?
STOPPER L'ESCROQUERIE ÉOLIENNE Le développement inconsidéré de l’éolien industriel correspond bien à ce que ne veulent plus voir nos concitoyens en gilets jaunes : l’alliance d’idéologues salonnards, de technos parisiens, d’élus fragiles et de financiers ou d’industriels étrangers, tous d’accord pour saccager nos campagnes afin d’alimenter la gloutonnerie électrique des métropoles. On peut impunément ruiner le cadre de vie des cul-terreux, quitte à leur ristourner quelques miettes du gros gâteau de la rente éolienne (leur offrir une salle polyvalente, un boulodrome ou… un rond-point). L’important est qu’on puisse poursuivre -à plein tarif- le gaspillage urbain, avec une technologie ringarde et improductive. Ce mépris de la ruralité, revêtu des oripeaux d’une croisade en carton-pâte pour l’avenir de la planète est une faute et une escroquerie.. Il conviendrait donc, de ce point de vue que nos ministres de l’environnement cessassent de se vautrer devant le lobby des spéculateurs éoliens. Ils devraient s’intéresser davantage aux gigantesques économies à réaliser dans le bâtiment et les transports, assorties de créations d’emplois non délocalisables. Plutôt que de proposer à contretemps une électricité dont nous sommes déjà largement exportateurs. Et, depuis trente ans que cette soi-disant « filière » n’arrive pas à vivre sans perfusion, ne parvient pas à créer d’emplois significativement et continue de nous fourguer une électricité aléatoire, intermittente, chère et anti-écologique, il serait temps de lui dire « stop » ! Et d’imposer un moratoire immédiat sur tout développement nouveau de l’industrie éolienne. Nous avons jusqu’ici subi la loi des spéculateurs étrangers : à eux, les profits et l’emploi ; à nous les coûts et les nuisances ! Cela doit changer. Dans l’immédiat, deux mesures d’urgence paraissent nécessaires : -abroger les honteux règlements de Rugy et Lecornu et rétablir un exercice normal des recours contentieux : le droit de faire appel, le droit à un double degré de juridiction, correspond aux principes généraux de notre Droit. Des « sections spéciales » destinées à « expédier » les critiques ne sont pas dignes de notre pays. -modifier de fond en comble les règles de l’enquête publique et de l’information citoyenne. Actuellement, ces enquêtes sont payées par le promoteur, sans aucune intervention académique, animées par des rapporteurs fragiles, soumis, dociles, bien tenus en main par les préfectures et désireux d’être renouvelés dans leur charge. Elles aboutissent à une parodie de concertation, frisant parfois le ridicule. Par exemple : table-ronde dont tous les participants sont rémunérés par le promoteur éolien ! Dans le même ordre d’idées, l’Agence de désinformation et de marketing éolien (l’ADEME) devrait être tenue de déclarer les conflits d’intérêts de ses dirigeants et leurs « pantouflages » dans l’industrie éolienne ou directement dans le lobby.
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