Intégralité de la contribution intitulée "LUTTER CONTRE LA CORRUPTION / DEFENSE DE LA VIE - DE LA FAMILLE - DES MINEURS ET DES RELIGIONS"
Voici l'ensemble des réponses fournies par un contributeur du site officiel aux questions du thème Démocratie et citoyenneté le 16 mars 2019 à Saint-Marcel-lès-Valence .

En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?
je n'ai pas d'avis tranché sur la question

En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?
Oui

Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?
* les associations de défense de la vie, les associations caritatives, les associations venant en aide aux personnes en difficultés (pas forcément matérielles), les associations soutenant l'accompagnement des familles, des couples, les personnes handicapées, malades, les associations défendant les droits de l'homme et de l'enfant, les associations cultuelles et de protection de l'environnement

Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?
* QUE LES ELUS MONTRENT UNE VIE SANS CORRUPTION, SE DEGAGENT DE TOUS LES LOBBIES FINANCIERS QUI GUIDENT ET INFLUENCENT SOUVENT LEURS CHOIX ? SOIENT HONNËTES, ET COURAGEUX quelque soient les risques encourus * Sanctionner, mettre à l’écart, et interdire les élus qui ont été condamnés ou sont même en jugement pour corruption, non déclaration impôts et autre de ce genre, pendant un certain nombre d’années, comme Marine Le Pen qui est accusé et condamné je crois pour emplois fictifs au niveau du parlement européen, et comme d’autres (Jérôme… ) ou ayant eu des comportements inacceptables de violence ou incitant à la violence, à la haine : et qu’ils soient obligés de chercher un travail comme toute personne et se mettre réellement au service et faire amende honorable pendant quelques années au sein de la population, sur le terrain * qu'ils montrent qu'ils savent prendre position et ne pas se laisser influencer par les lobbies financiers quelque que soit le domaine dans lequel ils oeuvrent

Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :
Une bonne chose

Pourquoi ?
* pour avoir le temps d'étudier les dossiers correctement, * pour avoir le temps de pouvoir être présent sur le terrain et à l'écoute des personnes * pour avoir le temps d'être présent dans leur mission de représentation de la population et voter les lois, et éviter le plus possible l'absentéïsme constatée lors des votes

Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?
….

Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?
Oui

Si oui, lesquels ?
les sénateurs surtout je pense. Mais pas d'avis tranché sur la question.

Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?
Les citoyens sont trop peu mobilisés parce qu'ils ont trop d'exemples d'élus corrompus, parce que peut-être ils n'ont plus d'espoir, parce qu'on leur a trop menti, parce qu'ils ne croient plus à la politique, aux promesses des candidats, et aussi parce qu'ils n'ont pas assez le temps de s'informer sur les réels programmes et intentions des candidats et ne savent plus qui voter peut-être

Faut-il prendre en compte le vote blanc ?
Oui

Si oui, de quelle manière ?
à discuter de quelle manière

Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?
Il y a des personnes qui ont plus de connaissances et de très bonnes idées. Je leur laisse l'expression dans ce domaine

Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?
Je ne sais pas

Si oui, comment ?
je ne sais pas

Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?
Je laisse l'expression aux personnes ayant plus de connaissances d'idées. Ce qui est certain, c'est que les citoyens doivent pouvoir contre-carrer l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités pour ""engraisser"" les lobbies financiers, pour satisfaire les désirs des lobbies financiers ou l'utilisation de cet argent pour des investissements non prioritaires, pour des investissements de luxe ou priorisant le consumérisme.

Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?
PAS ASSEZ INFORMEE ET N'AI PAS ASSEZ REFLECHI A CELA

Faut-il transformer [nos assemblées, dont le Sénat et le CESE] ?
Oui

Si oui, comment ?
JE NE SAIS PAS

Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?
..La question est biaisée, mal posée. Il faudrait déjà s'entendre sur une définition juste, correcte et commune de la laïcité. Les religions n'ont pas à être exclues de toute décision, et ce dans tous les domaines. Par contre, tout parti politique, tout candidat ou élu politique ne peut prétendre parler, agir à lui seul au nom de sa religion et de ses idées religieuses. De même, aucun prosélytisme ne peut être autorisé - prosélytisme dans le sens d'imposer à quelqu'un quelque chose contre sa volonté. Ceci est donc valable pour les sectes, tout mouvement ou toute idéologie, franc maçonnerie y compris (ne révélant jamais à ses membres ses vraies intentions, ses buts réels). Les religions, les seules 3 religions existant dans le monde, c'est-à-dire le christianisme, la religion musulmane et la religions juive (le reste n'étant pas des religions mais des philosophies, sagesses, de vie ou mouvements d'idées, d'idéologies divers) ne doivent pas être discriminées, exclues et persécutées pour ne pas leur donner la parole. La laîcité n'implique pas une exclusion des religions dans l'émission de leurs avis, de leurs positions, de leurs considérations dans la vie quotidienne, la politique, le social, la santé, l'économie,... bref dans tout ce qui concerne la vie publique. Elles ne doivent pas être reléguées à la seule prise de position dans la sphère privée. Mais au contraire, il faut considérer qu'elles ont droit à la parole, au respect, et leurs représentants, ainsi que leurs experts selon les domaines abordés doivent être entendues et pris en compte dans le quotidien et dans toute prise de décision, de loi.

Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?
* en informant, en éduquant sur ce que signifient les valeurs ""liberté - égalité - fraternité"" - mais en tenant compte et en faisant prendre conscience : - de la nature de l'être humain et des droits naturels de l'homme ; - de la constitution de l'être humain en tant que corps / esprit / âme - en favorisant un accompagnement individuel, individualisé, et individualisant qui conduisent non pas à l'affirmation de la primauté de l'individu sur le bien commun, et qui n'impose pas non plus dans l'extrême la primauté du bien commun en niant et en violant la dignité individuelle de chacun, mais qui conduisent à une dignité humaine, découlant de la dignité naturelle universelle, inviolable, inaliénable, qui permet à chacun de prendre conscience, de se former, de s'informer, d'expérimenter, de vivre ce qui constitue la plus grande valeur de la République, à savoir, la fraternité pour aller même plus loin et vivre la ""charité"".

Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?
- informer, communiquer, éduquer sur le sens de l'engagement citoyen, faire prendre conscience de son importance.

Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?
PAS LE TEMPS DE REPONDRE : mais la politesse, le respect en parole et en action, le dialogue, la communication , l'honnêteté, le courage….

Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?
PAS LE TEMPS DE REPONDRE mais plein de propositions sont à faire

Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?
Je ne sais pas. Mais je ne pense pas qu'il faille valoriser à tout prix de manière officielle cet engagement, notamment dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics, car si on le fait, on risque d'induire des comportements ""non gratuits"", qui ne découleront plus d'une volonté libre, d'une prise de conscience, qui n'impliquerait plus qu'on soit dans une démocratie, car l'engagement deviendrait en quelque sorte ""obligatoire"" de manière à être ""bien vu"", et on risque de tomber dans des dérives, des déviances, qui pourraient aller jusqu'à reproduire des choses graves qui se passent par exemple en Chine.

Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?
Les paroles et les gestes : * qui portent atteinte à la dignité humaine ; * qui jugent les personnes (à différencier du jugement des actions) conduisant notamment à ce qui suit : * une exclusion ; * du mépris ; * du rejet ; * de la violence ; * de la manipulation mentale, psychique, physique

Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?
Mettre en place à la fois des moyens : * de sanction * de médiation * d'aide à la prise de conscience de la nocivité et de l'impact de ces incivilités * de concertation et travail partenarial entre les associations / les centres sociaux / l'Etat / la police - gendarmerie / les divers organismes pouvant être concernés / le personnel et bénévoles éducatifs

Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?
* s'informer / se former * agir dans la vie de tous les jours sans penser que cela ne nous concerne pas si nous ne sommes pas atteint personnellement, tant que nous ne sommes pas victimes nous-mêmes de ces incivilités

Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?
Les discriminations les plus répandues dans notre société, mais aussi dans le monde entier sont : * les discriminations, exclusions de personnes à cause de leur religion, et notamment les persécutions religieuses, catholiques qui sont le plus nombreuses à travers le monde entier * les discriminations par rapport aux handicaps, maladies * les discriminations raciales * les discriminations éducatives

Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?
* cf réponse fait à la question : comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ? * lutter contre les peurs, les jugements, les à priori tout faits

Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?
Oui

Si oui, lesquelles ?
En fait, ma réponse est oui et non . Cela dépendrait des allocations de solidarité, mais pour certaines effectivement, il pourrait être demandée une participation dans une association ou organisme divers en laissant à la personne le choix de l'association ou de l'organisme et du nombre d'heures, pour respecter ses démarches personnelles, ses difficultés… ainsi qu'il pourrait être demandé des travaux d'intérêt général : mais là encore avec une liberté sur le temps donné pour cela.

Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?
Il y a beaucoup trop de préjugés encore par rapport aux personnes étrangères migrantes. Concernant les critères à mettre en place, je pense qu'il faut : * accueillir dans notre pays en priorité les personnes persécutées dans leur pays, en danger d'intégrité physique, morale, psychologique ; * aider les populations dans les pays étrangers que les habitants fuient en masse, par rapport à leur difficulté spécifique : misère, changement climatique : mais les aider sur place, sur le terrain dans leur pays pour aider les populations à pouvoir rester ou avoir au moins le choix d'y rester et de ne pas partir parce qu'ils ne peuvent plus faire autrement (comme le font déjà certaines associations) Pour le reste, je laisse la parole aux associations et organismes qui œuvrent sur le terrain auprès de ces personnes et sont expérimentés dans ce domaine, et ont beaucoup d'idées, de projets

En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?
NON

Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?
Ce serait trop long à énumérer, et surtout je laisse la parole aux associations et organismes qui œuvrent sur le terrain auprès de ces personnes et sont expérimentés dans ce domaine, et ont beaucoup d'idées, de projets (comme le Secours Catholique, le CCFD, …)

Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?
Je laisse la parole aux associations et organismes qui œuvrent sur le terrain auprès de ces personnes et sont expérimentés dans ce domaine, et ont beaucoup d'idées, de projets (comme le Secours Catholique, le CCFD, …)

Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?
Oui. Les voici : DANS LE DOMAINE DE LA BIOETHIQUE : * que les législateurs manifestent un souci vrai et urgent de faire prévaloir un mieux disant, un mieux-être éthique, avec les propositions ci-dessous notamment : * refuser la langue de bois, les déviances du langage, des mots employés comme par exemple « GPA éthique » qui est un contre-sens, car il ne peut y avoir de GPA éthique et ne pas entendre et ne favoriser que les témoignages émotionnels et décisions prises sous cette emprise émotionnelle, sans réflexion sur la question des droits humains, et de la réflexion éthique *annulation de la disposition votée par l’Assemblée National, pour imposer l’effacement des mots « père » et « mère » des formulaires scolaires au profit des formules « parent 1 » et « parent 2 » Cette réforme instaure une hiérarchie entre les parents en les numérotant. Ce n’est pas conforme à l’intérêt des familles : chacun mérite d’être appelé pour ce qu’il est sans nier la dualité entre l’homme et la femme. (dont le contraire signifie la neutralisation du genre qui contredit un principe d’écologie humaine universel : qui est que tout enfant est né d’un homme et d’une femme) * moratoire international interdisant la modification génomique, selon la proposition de la députée Marie-France Lorho * que le rapport de la mission parlementaire sur la bioéthique soit revu : qui n’est pas le reflet des heures d’audition et qu’il a été orienté dans un seul sens, n’appartenant qu’à un seul courant de pensée, ne reflétant pas le contenu des auditions, selon certains députés ayant été présents à ces auditions * dans toutes les lois de bioéthique, considérer l’enfant, son intérêt et non le seul plaisir, désir des adultes concernés : poser par exemple la question : est-ce que l’enfant serait d’accord pour ne pas avoir de père ? question à ne pas poser à un seul moment de la vie de l’enfant mais bien tout au long de sa vie. * se poser des questions comme : est-ce un progrès que de créer des familles monoparentales, créer des femmes seules avec enfants,… ? * réfléchir à un seuil de valeurs communes (réflexion de Mr Cédric Villani) qui permettraient de concevoir une intelligence artificielle éthique mise au service de l’humain et non le contraire (commentaire que je rajoute) : en ne laissant pas ces valeurs être définies par les acteurs de l’industrie et de fédérations industrielles pour lesquelles existe un conflit d’intérêt et peuvent se constituer comme des lobbies financiers, en laissant ces valeurs être définies par des philosophes, éthiciens, responsables religieux, sociologues, anthropologues, personnel de santé et personnel éducatif. * ne pas autoriser le séquençage de l’exome entier en prénatal, au cours de la grossesse, qui pose d’importants problèmes éthiques * faire reconnaître légalement le statut de personne humaine à un fœtus dès le 4ème jour de sa conception, se basant sur les études biologiques et scientifiques, prouvant que le fœtus dès son 4ème jour a déjà un cerveau ; et que les battements de son cœur sont détectables, perceptibles par nos moyens technologiques sonores qu’à partir de 6 semaines (sachant que nous sommes encore limité au niveau de la performance de nos moyens technologiques pour saisir les sons) * établir un statut de nouveau né au fœtus, basé ainsi, sur une réalité biologique, physique incontestable, décrite précédemment * autoriser ainsi à un des parents à nommer le fœtus en tant que co-plaignant dans des procès pour décès injustifié, où un parent se trouve opposé à l’autre dans un cas d’avortement *ne pas autoriser l’obsession des politiques de santé publiques uniquement focalisées sur la volonté de faciliter l’avortement plutôt que d’être focalisée sur une prévention évitant l’avortement, par exemple : en aidant et accompagnant des femmes ou parents en difficultés qui pensent ne pas avoir le choix financièrement notamment, et au minima en les renseignant sur leurs droits aux aides possibles, en dénonçant le climat délétère, le matraquage et conditionnement d’esprit, souvent, par le personnel soignant, ou de la société à la préconisation comme seule solution l’avortement, sans laisser les personnes concernées prendre conscience et accéder à leur désir le plus profond, et/ou en les accusant d’être inhumains, en les stigmatisant s’ils choisissent de faire naître un enfant potentiellement handicapé, ou parce que la naissance de l’enfant les met en difficultés financières. En favorisant tout ce qui peut conduire à moins d’IVG : en étudiant par exemple pourquoi au Québec le nombre d’avortements a atteint son plus bas niveau depuis 20 ans, c'est-à-dire 25% en moins. en favorisant et proposant un accompagnement pour une sexualité plus responsable comme prévention de l’avortement (mais à définir ce que signifie plus responsable) * favoriser l’accompagnement en fin de vie, ce qui permettrait d’éviter toute demande d’euthanasie * reconnaître que l’euthanasie ne peut de toute façon qu’être un mort inhumaine, douloureuse (cf conditions de décès des patients euthanasiés dans les pays où cet acte est autorisé, et qui montrent que les résultats vont à l’encontre de l’argument avancé en faveur de l’aide médicale à mourir selon laquelle les patients décèderaient avec dignité et paix. Les différentes méthodes utilisées montrent qu’il n’existe aucune méthode parfaite pour atteindre un état de perte de conscience (qui déjà constitue un problème éthique : faire perdre conscience à une personne) et que les citoyens vulnérables sont tués par des moyens sous-optimaux et mêmes cruels humainement. * reconnaître l’originalité et la prévalence d’un être humain, de la personne humain, qui a des caractéristiques bien précises et originales (comme le fait d’apprendre à évaluer ses actes en conscience, supposant une réflexion, en fonction d’une histoire personnelle et collective) pr rapport aux autres espèces vivantes (animaux / flore), qui n’ont aucun équivalent quand à ces caractéristiques humaines spécifiques. Le dressage peut engendrer des comportements adaptés mais l’éducation, elle va bien au-delà, puisqu’elle n’a de sens qu’à rejoindre ce qui fait la grandeur de chaque personne : son cœur et sa conscience. L’homme ne peut être réduit à un animal et à contrario l’animal ne peut être élevé au statut de personne vivante humaine, contrairement à ce qu’on voudrait nous faire croire actuellement. Et ce, même s’il peut y avoir une empathie dans la vie affective entre ces être différents sensibles et souffrants, et que l’animal reste à protéger (non pas à respecter, car le respect est réservé à des personnes et êtres humains). C’est la lutte pour la dignité de l’homme qui doit rester prioritaire et il n’y a pas de combat à mener pour la libération de l’animal (contrairement à l’homme), mais un combat pour sa protection. Le statut de l’embryon humain, du fœtus, doit être défendu avec plus d’égards et d’attention que l’animal (à contrario de ce qui est fait actuellement). La conscience humaine va bien au-delà d’une sensibilité nerveuse dont est dotée les animaux, qui ressentent effectivement la douleur (réflexe), mais aussi la souffrance (conscience animale). Les règles des 3R dans le cadre du respect de l’animal, évoquée comme fondement philosophique et pratique de l’expérimentation animale, à savoir, - raffiner les protocoles de recherche ; - remplacer quand c’est possible ; - réduire le nombre d’animaux expérimentés Devraient être, a minima, appliquées lorsqu’il s’agit de recherches sur l’embryon humain. De même, la formation continue obligatoire envisagée pour les praticiens intervenant sur les animaux ne devrait avoir lieu que si d’un autre côté une formation éthique est rendue obligatoire aux chercheurs et praticiens spécialisés dans la recherche embryonnaire et prénatale. * ne pas autoriser le suicide assisté * lutter contre des politiques eugénistes de manière prioritaire. En effet, « la volonté de constituer une espèce humaine de meilleure qualité, plus performante, plus compétitive…. C’est le transhumanisme, finalement. Le but de la médecin serait d’avoir des individus en bonne santé mais elle augmente sans cesse le nombre de ses clients en identifiant des malades qui s’ignoraient et en élevant la barre du « normal. Si l’on ne fixe pas de limites, cela peut conduire à l’eugénisme. En Europe, on n’ose pas en parler parce que ça rappelle le nazisme. Alors nous évitons le débat. Sauf que, dans la pratique du tri des embryons, il est bien question de mettre en compétition les individus qui vont survivre selon des critères de plus ne plus exigeants… L’eugénisme s’affirme comme projet de notre société » (Dr Testart) Pourtant, les projets mis en application pullulent, comme la PMA, le tri des embryons dans tout ce qui est proposé, le diagnostic prénatal, qui sont une orientation politique ni médicale, ni scientifique, ni philanthropique mais uniquement lucrative. * remettre en cause la question de la liberté des experts siégeant au sein d’institutions comme l’ONU ; en remettant en cause le paragraphe 8 et l’observations sur l’article 6 du Pacte sur le Droit à la vie, adopté le 30/10/2018, qui constituent une violation du droit à la vie. Donc lutter contre ces politiques eugénistes : En supprimant le DPNI qui n’est un test que pour faire le tri des êtres humains, qui vise à éradiquer les enfants porteurs de trisomie et de handicaps divers, * ANNULATION DU PROJET DE LA PMA POUR PERSONNES DE MEME SEXE ET POUR FEMMES CELIBATAIRES * NE PAS AUTROISER LA GPA LA PROTECTION DES MINEURS : * SUPPRESSION DE LA LOI ATROCE VOTEE EN FORCE LE 01/08/2019, loi SCHIAPPA, déqualifiant le viol de crime en simple délit (votée par 92 députés présents sur 577) Cette loi a renversé les rôles, aboutissant à ce que les juges et magistrats questionnent les comportements de l’enfant et non celui des agresseurs. S’ils estiment que le mineur, notamment l’enfant en dessous de 15 ans, ne s’est pas assez débattu, n’a pas crié assez fort pendant le viol, alors ils l’estime consentant au viol, quelque soit son âge en plus. Il existe même ainsi en France une « pratique barbare » consistant à interroger un enfant de 5 ans sur son éventuel consentement à un viol commis par un adulte. Conséquences : le viol défini et punissable normalement comme crime est alors requalifié et puni comme une atteinte sexuelle (comme simple délit), c’et-à-dire aboutissant à la quasi-impunité et relaxe du violeur. Avec cette loi (élaborée en pleine conscience par la ministre Mme Schappia) votée, en catimini et passée en force malgré la mobilisation de moins d’une centaine d’associations et de professionnels, LES VICTIMES, dans les prochaines années, N’OSERONT PLUS PARLER ET DENONCER LE VIOL SUBI, sachant qu’elles seront harcelées psychologiquement pour prouver leur consentement à la relation sexuelle imposée, et qu’en plus les violeurs seront relaxés rapidement. Informations chiffrées (OMS et UNICEF) : * à l’échelle mondiale, 90% des abus sexuels sont perpétrés dans la famille ou par un membre proche de la famille. Les écoles et les clubs de sport sont aussi des lieux à haut risque. * En Europe, en 2017 : 2.5 millions de jeunes femmes affirmaient avoir subi un abus sexuel AVANT L’AGE DE 15 ANS. (+ toutes celles qui ne se sont pas déclarées + les garçons) Combien en France ? A priori, le chiffre serait important également. Il ne pourra qu’augmenter très fortement avec cette nouvelle loi. CETTE LOI RISQUE DE PROVOQUER UNE CATASTROPHE HUMANITAIRE (quand on sait toutes les conséquences de destruction psychologique, sociale, …. que provoque un viol) Je demande donc, à la suite de certaines associations les modifications suivantes de cette loi : - La qualification automatique comme agressions sexuelles des actes sans pénétration commis par des majeurs sur les mineurs de 15 ans - La qualification automatique comme viols des pénétrations sexuelles commises par les majeurs sur les mineurs de 15 ans - La qualification automatique comme agressions sexuelles ou viols des actes incestueux commis par les majeurs sur les mineurs jusqu’à 18 ans ; - la proposition de lois contre l’impunité de la pédo criminalité, quasi totale en France, essentielle pour garantir l’intérêt supérieur de l’enfant comme le prône la loi de 2016. - le départ de Mme Schiappa du gouvernement ou en tout cas de sa fonction actuelle au sein du gouvernement DANS LE DOMAINE DE L'EDUCATION : * revoir l’imposition de trop de contraintes administratives notamment pour les écoles hors contrat et ainsi leur mettre tellement d'obstacles que cela décourage ainsi la création d'écoles hors contrat * ne pas autoriser la théorie du genre dans les manuels scolaires : qui est une théorie ne découlant pas de la loi naturelle humaine et en plus qui impose une vision non seulement anti-naturelle mais anti-démocratique. * revoir et supprimer les cours d’éducation sexuelle avec un contenu qui pose des problèmes éthiques ; Idem pour les séries sensées compléter l’éducation sexuelle des ados ; (comme « big mouth » « pen 15 », « sex éducation » ;… ce n'est pas à l'école d'éduquer et de donner des cours concernant l'éducation sexuelle : cela ne relève pas de la fonction et mission de l'école publique Car une démocratie suppose qu'on puisse avoir différentes visions, idées, et dans ce domaine aussi. * annuler et ne pas voter le projet de suppression de la liberté de scolarisation à domicile DANS LE DOMAINE DU HANDICAP : * Favoriser l’accès au travail des personnes handicapées * Les accompagner pour une meilleure intégration et qu’elles puissent sortir de la dépendance à une allocation Revoir la question de l’allocation d’adulte handicapé pour celles qui en ont besoin et notamment la suppression du complément de ressources de l’AAH par fusion avec la majoration pour vie autonome et revoir le plafond des ressources des personnes handicapées en couple LOI DE 1905 : annuler le projet de loi visant à la modification de la loi de 1905 CONCERNANT LA POLITIQUE FAMILIALE : * favoriser une politique familiale : 1. Allonger la durée légale du congé maternité : toutes les préconisations, que ce soit sur la santé physique ou psychologique du bébé démontrent la nécessité du maintien du lien mère enfant après 2 mois et demi.. .+ préconisation de LOMS d’un allaitement exculsif pendant 6 mois, puis complété jusqu’aux 2 ans de l’enfant 2. Revoir également le congé parental d’éducation pour papa ou maman Financièrement, tout le monde y serait gagnant : actuellement manque de places en structure petite enfance : donc moins de stress à trouver absolument un mode de garde / conséquences psychologiques et physiques sur le bébé seraient plus bénéfiques et la maman aussi (en veillant à un accompagnement pour pas que la maman et/ou papa se sentent dépassé par le changement de vie que cela implique et ce qu’implique être parent), donc moins de problèmes par la suite et de coût financier pour résoudre les problèmes, consultations de tout genre, moins de troubles de comportements ayant des conséquences (moins de coût financier pour la collectivité) / du travail pour d’autres pour remplacement du parent en congé… 3. Plus d’accompagnement pour les couples en difficultés : les impacts idem seront bénéfiques pour tous : les adultes concernés, les enfants, la collectivité… * favoriser la natalité, mais pas avec des moyens comme l’autoconservation des ovocytes pour laquelle d’une part très souvent « la désillusion se trouve au rendez-vous » et d’autre part pose de graves problèmes éthiques * favoriser l’accompagnement et l’expression de la mère et du père, et prendre en compte la douleur de chacun après des fausses couches ou la mort subite d’un enfant * maintenir la compétence particulière judiciaire en matière de filiation, spécialement en cas d’accueil d’embryon, telle que prévue dans l’article L2141-6 du code de la santé publique, (prévu pour recueillir le consentement de l’adulte) et ne pas voter l’amendement adopté par l’assemblée nationale qui voudrait la remplacer par un simple consentement devant le notaire. La compétence particulière judiciaire est la seule qui peut préserver l’intérêt de l’enfant quand à l’établissement de sa filiation, et lui procurait identité qui est très important dans la vie de tout être humain. * annulation de la mise en place de la pilule dite de « l’oubli « avec le propranolol, mise au point pour atténuer les peines de cœur, les chagrins d’amour ou l’impact émotionnel d’un souvenir traumatique et proposer plutôt un accompagnement pour gérer cette difficulté * réhabiliter les vertus masculines, l'évolution juste et normale des droits de la femme ayant déstabilisé les relations femmes - hommes, ces derniers ne trouvant plus vraiment leur place, leur rôle et leur fonction ayant changé * ne pas inciter à une guerre des sexes, et des droits de chacun mais réhabiliter les vertus, les spécificités naturelles des hommes et des femmes PROPOSITIONS POUR RECUPERER DE L'ARGENT A INVESTIR DANS DE SAINES MESURES ET REFORMES DECRITES PRECEDEMMENT : - supprimer les indemnités et avantages divers que bénéficient députés et sénateurs après la fin de leurs mandats et peut-être revoir en partie certains avantages pendant leur mandat ou en tout cas les encadrer plus strictement, en instaurant par exemple 1) des indemnités de base comprenant une part fixe et un complément payé sur l’assiduité contrôlée. (car l’absentéisme et l’hémicycle quasi vide reste un problème important qui permet à des lois loufoques d’être votée facilement), et donc en tenant compte d’un vrai travail effectué ou non pour dans le cadre de leur fonction, quel qu'en soit la raison. Leur travail justifiant les très confortables revenus de ces élus concerne essentiellement le dépôt de propositions de lois, leurs études en commission puis en séance publique, la proposition des amendements et enfin la participation aux votes. Donc, si cela n’est pas fait, si le constat est fait d’un absentéisme , notamment au moment des votes, donc il est normal que ces élus ne touchent pas les revenus qui leur sont alloués pour cela. Et comme le règlement intérieur de l’Assemblée nationale permet qu’une loi soit votée par seulement 3 députés présents… et que ce règlement intérieur est voté … par les députés eux-mêmes… il est évident que le jour où un projet de loi voudrait limiter le nombre d’élus, députés et sénateurs, ou diminuer leurs avantages ou règles de fonctionnement plus exigeantes, les assemblées à ce moment là seront pleines à 100% le jour du vote pour rejeter ces propositions…. Et le reste du temps, l’hémicycle continuera à rester très souvent vide.. surtout si certains font un cumul des mandats. 2) Un remboursement des frais de mandat uniquement sur justificatifs et fixation d’un plafond 3) 3) la rémunération des collaborateurs sur justificatif des fonctions réellement exercées et sur une grille de salaire transparente et vérifiable 4) L’obligation de rendre public un rapport individuel mensuel de l’activité de chaque élu 5) Imposer la présence effective d’au moins les ¾ des élus lors des séances de vote 6) Que toutes les modifications concernant le statut et les divers avantages des élus soient prises non par eux même mais par ordonnances ou par référendum - supprimer une grande partie des avantages accordés aux anciens présidents de la République : quand ils ont fini leur mandat, ils peuvent et doivent se trouver un travail ou partir en retraite, comme toute personne qui perd son travail pour une raison ou une autre, qui n’a plus de contrat de travail ; leur accorder un garde du corps mais c'est tout. - conserver la taxe parafiscale dédiée au financement des mesures des niveaux d’exposition et à celui des recherches sur les radiofréquences (car il y aurait dans un projet de loi de Finances inscrite la suppression de cette taxe, ce qui signifierait encore un cadeau de plus fait aux opérateurs se rajoutant à celui lié au renouvellement de leur licence) C’est une contribution très modeste, très modique pour les opérateurs, mais une source de recettes non négligeables, qui répond au principe » du « pollueur/payeur) et qui permet de financer des mesures dédiée à la recherche dans ce domaine des ondes. * taxation de la plus-value sur vente de bien immobilier, maison, appartement, … uniquement sur ceux que les propriétaires n’ont pas entretenu Toutes ces idées ne viennent pas de moi, mais de ce que j'ai pu lire dans des pétitions ou autres + certaines idées et considérations relevées dans des associations comme Alliance Vita, ECLJ... + des idées personnelles.


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