Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :
Une bonne chose
Pourquoi ?
Bien mais cent fois trop timide et inabouti. Il faut clarifier les cumuls locaux et surtout se doter d'une déontologie du mandat électif. L'élection confère une mission : il faut rappeler que le mandat n'est pas un métier. En matière de cumul dans le temps chaque citoyen pourra exercer au plus, consécutivement ou non : - deux mandats parlementaires - trois mandats territoriaux (y compris les communautés et syndicats divers et variés) rémunérés à 3 ou 4 fois le Smic - sans limitation dans les toutes petites communes ou en tant que simple conseiller
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