Que pensez-vous de l'organisation de l'Etat et des administrations en France ? De quelle manière cette organisation devrait-elle évoluer ?
Trop centralisée, plus d'initiatives citoyennes
Selon vous, l'Etat doit-il aujourd'hui transférer de nouvelles missions aux collectivités territoriales ?
Oui
Si oui, lesquelles ?
social, santé...
Estimez-vous avoir accès aux services publics dont vous avez besoin ?
Non
Si non, quels types de services publics vous manquent dans votre territoire et qu'il est nécessaire de renforcer ?
médecins, hôpital : rien dans le Pays de Gex !
Avez-vous déjà utilisé certaines de ces nouvelles formes de services publics ?
Non
Quand vous pensez à l'évolution des services publics au cours des dernières années, quels sont ceux qui ont évolué de manière positive ?
aucun
Quels sont les services publics qui doivent le plus évoluer selon vous ?
soins, transports, écoles
Connaissez-vous le "droit à l'erreur", c'est-à-dire le droit d'affirmer votre bonne foi lorsque vous faites un erreur dans vos déclarations ?
Non
Faut-il donner plus d'autonomie aux fonctionnaires de terrain ?
Oui
Faut-il revoir le fonctionnement et la formation de l'administration ?
Oui
Comment l'Etat et les collectivités territoriales peuvent-ils s'améliorer pour mieux répondre aux défis de nos territoires les plus en difficulté ?
Investir vraiment dans le social. Voir les dernières propositions de Hulot à ce sujet.
Y a-t-il d'autres points sur l'organisation de l'Etat et des services publics sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?
Reconnaissance du titre de psychopraticien(ne) afin de légitimer et donner une vraie place à ce métier et à tous ces professionnels qui œuvrent avec sérieux et dévouement dans l’accompagnement des personnes en souffrance. Cette reconnaissance permettra d’une part, d’encadrer le métier et de le préserver de toute formation frivole et d’autre part, d’éclaircir le paysage du domaine de la santé mentale pour les usagers perdus dans cette faune de la psychologie. Certes, la loi Accoyer a voulu certainement protéger les usagers mais elle n’a fait que semer le trouble en mettant sur la touche le métier de psychopraticien(ne), une méthode, des techniques basées sur une connaissance concrète du fonctionnement humain, une approche qui touche l’humain dans sa globalité et qui implique dans sa formation outre des connaissances approfondies, une thérapie personnelle obligatoire ainsi qu’une supervision continue ce qui n’est pas le cas pour le titre de psychothérapeute je le rappelle. Cette mise à l’écart est injuste et manque de discernement. Malgré la non reconnaissance du titre, chaque jour des personnes osent pousser la porte du cabinet d’un(e) psychopraticien(ne) et trouve un véritablement accompagnement et une réponse à leurs détresses. N’est-t-il pas dommage de priver une autre partie de la population qui n’ose pas uniquement parce qu’il manque quelques mots légiférants ?
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