Intégralité de la contribution intitulée "RESIDENCE ALTERNEE"
Voici l'ensemble des réponses fournies par un contributeur du site officiel aux questions du thème Organisation de l'état et des services publics le 8 mars 2019 à Hestrus .

Que pensez-vous de l'organisation de l'Etat et des administrations en France ? De quelle manière cette organisation devrait-elle évoluer ?
L’institution judiciaire ne respecte pas l’article 1 de la Déclaration universelle des Droits de l’Homme. Par là, l’institution judiciaire, organisation de l’Etat, est militante et conservatrice : hommes et femmes ne font pas l’objet du même traitement, particulièrement dans les situations urgentes touchant à l’enfance, par exemple dans le cadre des conflits familiaux et des séparations des parents. Le fonctionnement actuel de l’institution judiciaire va à l’encontre de l’intérêt des enfants, du respect des droits du père et du bien commun. Il est important et urgent de supprimer les discriminations de genre existant dans la gestion des conflits familiaux et donc de permettre à tout parent non dysfonctionnant et en faisant la demande de pouvoir accéder à l’éducation de ses enfants de manière automatique via l’instauration d’une Résidence Alternée Egalitaire, qui ne saurait être refusée dès que les petits ont dépassé leurs besoins biologiques. 1. Pères et mères doivent être considérés de la même manière : STOP aux discriminations de genre dans la justice familiale. 2. Une demande de Résidence Alternée Égalitaire ne doit pas pouvoir être refusée sans raison majeure, justifiée, et clairement établie. 3. Il ne doit pas être possible de changer les adresses de résidence des enfants sans l’accord des titulaires de l’autorité parentale. 4. Les atteintes à autorité parentale doivent être sanctionnées rapidement et fermement, et ce qu’elles soient exercées par des personnes physiques ou morales. Par exemple, de trop nombreuses mères privent les pères de leurs enfants en faisant délibérément des délits de ""non représentation d'enfant"" et elles se permettent de continuer impunément ainsi car les sanctions sont bien trop légères à leur égard. La justice et la loi doivent changer et sanctionner rapidement et fermement ces délits. Ceci dissuaderait les auteurs de délits et améliorerait grandement la prise de responsabilité individuelle dans la gestion commune d’un enfant tout en réduisant les situations conflictuelles nuisibles à son bien-être. 5. Tous les intervenants autour des conflits familiaux doivent faire correctement leur travail, notamment les juges chargés d’appliquer les lois existantes et non de les « apprécier », et les services de police qui ont l’obligation de prendre les plaintes pénales de toute victime d’infraction se présentant à eux. 6. La gestion des conflits familiaux doit être simplifiée, rendu plus efficace, et surtout gérée beaucoup plus rapidement qu’elle ne l’est. Les enfants continuent de grandir et les dégâts qui leur sont causés sont souvent irréparables.


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