Que pensez-vous de l'organisation de l'Etat et des administrations en France ? De quelle manière cette organisation devrait-elle évoluer ?
Dégraisser le mammouth. Un ministre l'a déjà dit, on aurait dû l'écouter.
Selon vous, l'Etat doit-il aujourd'hui transférer de nouvelles missions aux collectivités territoriales ?
Non
Si oui, lesquelles ?
Surtout ne rien changer mais faire seulement que ça fonctionne. Simplification, efficacité, responsabilité.
Estimez-vous avoir accès aux services publics dont vous avez besoin ?
Oui
Quels nouveaux services ou quelles démarches souhaitez-vous voir développées sur Internet en priorité ?
Pourquoi les sites *****.gouv, sont-ils laborieux d'utilisation et finissent souvent par un message d'erreur. Je pense entre autres, au service des cartes grises, au service ""bloctel"" une vaste fumisterie d'une totale inefficacité. Encore des finances publiques gaspillées.
Avez-vous déjà utilisé certaines de ces nouvelles formes de services publics ?
Non
Faut-il revoir le fonctionnement et la formation de l'administration ?
Oui
Si oui, comment ?
Le personnel de l'administration publique, doit comprendre que c'est l'ensemble des Français qui paie leur salaire, et qu'en retour, il doit apporter un service de qualité.
Comment l'Etat et les collectivités territoriales peuvent-ils s'améliorer pour mieux répondre aux défis de nos territoires les plus en difficulté ?
En se recentrant sur l’essentiel, emploie, commerce, industrie. Laisser de côté le superflu. Réduire dans une grande proportion le nombre de ministres. Chaque ministre quel qu'il soit, veut laisser sa marque, il fait donc sa réforme, sa loi, qui, dans le meilleur des cas s'avère inefficace et coûte à la collectivité, malheureusement sur ce point l'histoire me donne raison. Alors qu'il suffirait d'appliquer avec plus de rigueur ce qui est établi. La planification par le bas, dans les écoles sur la route, etc. Pour l'un, il en résulte une désertification de l'artisanat par les Français celui-ci n'est occupé actuellement que par de la main d’œuvre étrangère. Pour l'autre une asphyxie de l'économie. Je pourrais parler du principe de précaution, qui évite à nos ministres de prendre des initiatives et des responsabilités et qui là encore engendre des dépenses inutiles.
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