Intégralité de la contribution intitulée "inceste - justice - psychiatrie"
Voici l'ensemble des réponses fournies par un contributeur du site officiel aux questions du thème Fiscalité et dépenses publiques le 20 février 2019 à Nantes .

Quels sont les domaines prioritaires où notre protection sociale doit être renforcée ?
Dans le domaine de la justice et de la santé particulièrement dans la psychiatrie cela n'a échappé à personne la corrélation entre pauvreté et troubles psychiatriques, comment y remédier en effet, nous devons revoir la prise en charge des malades, des personnes vulnérables parce que en dehors du fait de moyen c'est aussi une question de prise en charge qui est à revoir, la psychiatrie qui depuis la découverte des nouveaux médicaments distribue à tout va des antidépresseur des antipsychotiques sans réel travail de fond, ce sont des personnes avec des vies, des passés on ne soignent pas que des symptômes, comment expliquer le nombre croissant de malade, certes aussi en lien avec l'immigration, cette discipline que l'on a déviée, qui n'a pas la place qu'elle mérite au sein des services publics et donc de la prise en charge la psychologie quels médecins les meilleurs, font preuve d'exception et ceux-là le reconnaissent que bon nombre de patients internés n'ont rien à y faire par manque de temps et par moyen et aussi erreur de diagnostique en effet aucune question n'est passé, n'importe qui peut interner, qui ignore maintenant les familles, l'environnement aussi peut être toxique, vous savez par contre qu'un diagnostic posé jeune est difficile à effacer, certains même parce que cette misère là personne ne veut la voir, envoyer en Belgique... parce qu'ici en France on préfère la psychologie du travail et des organisation, des recruteurs y aurait beaucoup à dire et que dans un amphi de 200 personnes très peu ou trop peu sont voué à faire de la psychologie réellement, laissant le champs libre aux abus, aux internement d'offices qui eux aussi ne sont pas du tout contrôlés, aucun questionnaire, des personnes battues, abusées, incestuées se retrouvent-là incapables de s'exprimer qui ira contredire par la suite une diagnostic posé par une batterie d'experts, basé uniquement sur des observations de personne n'ayant jamais le droit de sortir se faisant battre, qui aurait une attitude normale dans de telles conditions, et pourtant cela existe. Et quand on a besoin de prouver sa bonne foi, ses compétences avec une étiquette comme cela ça se complique, est-elle folle, ou pas jusqu'où, mais non elle n'est folle qu'à des moments, cela dépend des experts, pas assez pour aller travailler faire des saisons à 50 heures semaines payé 39. Je pense que pour comprendre la souffrance sociale il faut l'avoir vécu, ressenti, c'est surtout cela qui manque. Par contre pas assez folle n'ont plus pour suivre une vrai thérapie qui écoute, ses flash-back quand elle vit des moments d'intimité dire que c'est normale qu'elle soit effrayée . vous trouvez que les gens font leur travail alors après qui, quel homme pourrait accepter de vivre avec une femme comme cela. certains psy disent que les personnes abusées n'ont plus d'égo au point de ne plus envisager d'avoir d'enfant ou encore de subir les abuseurs, la famille tout accepté sans rien dire tout le monde se demande comment s'est possible. D'autre part la justice qui ne juge que 2 pour cent des abus imaginé si en plus celui qui vous a fait cela est marié à la soeur d'un gendarme vous chance de justice tombe à 0, et la justice qui vous envoie faire des expertises psychiatrique pour votre appel contre ces gens-là et là, cela vous laisse penser que vous avez inventé, qu'il n'y a pas de témoin, tout le monde sait depuis des années, faut pas se plaindre après qu'on fasse de suicide et qu'on qualifie ou qu'on catégorise cela comme un symptôme d'une maladie, quand on sait que pour ma part ma mère était patronne de bar à champagne on ose dire que j'ai eu une vie tranquille...


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