Intégralité de la contribution intitulée "Les effets désatreux de l'ouverture des marchés de l'électricité"
Voici l'ensemble des réponses fournies par un contributeur du site officiel aux questions du thème Transition écologique le 15 mars 2019 à Lyon 6e Arrondissement .

Quel est aujourd'hui pour vous le problème concret le plus important dans le domaine de l'environnement ?
La pollution de l'air

Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ?
réduire les émmissions et GES

Diriez-vous que votre vie quotidienne est aujourd'hui touchée par le changement climatique ?
Oui

À titre personnel, pensez-vous pouvoir contribuer à protéger l'environnement ?
Oui

Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu'il existe des solutions alternatives plus écologiques ?
Non

Avez-vous pour vos déplacements quotidiens la possibilité de recourir à des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle comme les transports en commun, le covoiturage, l'auto-partage, le transport à la demande, le vélo, etc. ?
Oui

Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à utiliser ces solutions alternatives ?
aides fiscales

Si non, quelles sont les solutions de mobilité alternatives que vous souhaiteriez pouvoir utiliser ?
Les transports en commun

Et qui doit selon vous se charger de vous proposer ce type de solutions alternatives ?
Les collectivités

Que pourrait faire la France pour faire partager ses choix en matière d'environnement au niveau européen et international ?
Montrer la voie et ne pas copier l'Allemagne.

Y a-t-il d'autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?
Parmi les acteurs de la transition énergétique, EDF doit jouer un rôle plus actif. Il est faux de prétendre que l'ouverture des marchés en 2007 pour les clients domestiques ait été profitable. Pour preuve les fournisseurs alternatifs n'on âs joué le jeu de construire des équipements de production. Le fait de leur avoir fait profiter le la production nucléaire la loi NOME) les a orienté vers une pure commercialisation avec trop peu de valeur ajoutée. Sur le plan économique global, cette démarche d'ouverture a déstabilisé la relation client. Les consommateurs de savent toujours pas, 12 ans après, à qui s'adresser et le service (procédures complexes et moins efficaces qu'avant) s'est dégradé malgré les efforts coûteux de la filière qui renchérissent le coût final. L'électricité n'est pas un produit comme les autres, la production-distribution-vente doit être pilotée par l'état et les collectivités à travers un service public unique. Beaucoup de français pensent que ""c'était mieux avant"" et si un référendum était organisé, le résultat ne serait pas en faveur du maintien de la concurrence. Par ailleurs les prévisions de croissance des consommations ne sont pas évidentes, pour preuve les erreurs de prévision de RTE à long terme dans ses 5 scénarios de 2017.


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