Quel est aujourd'hui pour vous le problème concret le plus important dans le domaine de l'environnement ? [Autres]
c'est tout car c'est un ensemble indissociable
Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ?
dans chaque projet ou/et modification sur notre planète se poser la question si c'est bon ou mauvais pour l'environnement
Diriez-vous que votre vie quotidienne est aujourd'hui touchée par le changement climatique ?
Oui
Si oui, de quelle manière votre vie quotidienne est-elle touchée par le changement climatique ?
mon épouse et moi même avons des problèmes respiratoires du à la pollution, les saisons ne sont plus aussi marquées et cela bouleverse notre quiétude: inondation, chaleur excessive
À titre personnel, pensez-vous pouvoir contribuer à protéger l'environnement ?
Oui
Si oui, que faites-vous aujourd'hui pour protéger l'environnement et/ou que pourriez-vous faire ?
je tri mes déchets, j'ai changé de véhicule pour un moins polluant, j'essaie de convaincre mes proches, je m'investis dans des associations militantes et dans d'autres sur EEDD, j'ai investit dans une chaudière plus performante, dans des panneaux solaires, j'essaie d'utiliser quand c'est possible les transports en communs , mon vélo
Qu'est-ce qui pourrait vous inciter à changer vos comportements comme par exemple mieux entretenir et régler votre chauffage, modifier votre manière de conduire ou renoncer à prendre votre véhicule pour de très petites distances ?
avoir un vrai transport en commun a moins d'un km de chez moi
Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu'il existe des solutions alternatives plus écologiques ?
Non
Avez-vous pour vos déplacements quotidiens la possibilité de recourir à des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle comme les transports en commun, le covoiturage, l'auto-partage, le transport à la demande, le vélo, etc. ?
Non
Si non, quelles sont les solutions de mobilité alternatives que vous souhaiteriez pouvoir utiliser ?
Les transports en commun, L'auto partage, Le vélo
Et qui doit selon vous se charger de vous proposer ce type de solutions alternatives ?
les collectivités
Que pourrait faire la France pour faire partager ses choix en matière d'environnement au niveau européen et international ?
être exemplaire
Y a-t-il d'autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?
1. Dans toutes les décisions intégrer une analyse de risque environnementale. Est-ce bon pour le climat ou pas? 2. Quand on utilise le terme Ecologie, ne plus confondre économie tourisme et écologie tourisme 3. Tout faire pour supprimer très rapidement tous les pesticides 4. Intégrer les recommandations des associations de protection de la nature dans les projets urbains et industriels et surtout dans les constructions nouvelles voir les rénovations. 5. Respecter les décisions prises dans les COP 21…24 6. Commencer à prendre les bonnes dispositions en prévisions de la montée des océans 7. Arrêter de faire une telle place aux chasseurs, ils ne peuvent pas se définir comme protecteur de la nature 8. Revoir la façon de déterminer les espèces anciennement nuisibles. Actuellement la liste est faites d’avance, les consultations ne sont que de la poudre aux yeux. 9. Pousser l'Europe à investir dans la transition écologique. Actuellement 800 M€, partent mensuellement dans la pure spéculation financière. Autant dire à fonds perdus 10. Un plan Marshal pour isoler les bâtiments 11. Développer les transports en commun dans la France Rurale, trains en autres, déplacements sur l'eau 12. Faire des réelles actions sur le traitement des eaux des rivières et fleuves qui sont polluées. 13. Diminuer et gérer la production de plastiques pour éviter de les retrouver en mer. 14. Conserver les « enquêtes publiques » qui sont une vraie façon de faire fonctionner la démocratie. Eventuellement faire en sorte que les délais de recours soient raccourcis. 15. Engager une renégociation de la Politique agricole commune, pour le développement d'une agriculture plus responsable et durable, afin de soutenir la transition vers l’agro écologie. La PAC doit pouvoir être un instrument de soutien à la restauration de la biodiversité et des paysages, avec la promotion des infrastructures « vertes » (recréation de haies, bandes enherbées, rotation des cultures, etc…), et en intégrant la réduction drastique des pesticides, l’amélioration du bien-être animal, le tout au service d’une alimentation et un environnement sains et durables pour tous. Plus que jamais la PAC doit soutenir le développement de l’agriculture biologique, et la France devrait être le fer de lance d’une politique audacieuse en la matière. 16. Soutenir la mise en place des circuits courts, c’est-à-dire la commercialisation des produits agricoles soit par la vente directe du producteur au consommateur, soit par la vente indirecte à condition qu’il n’y ait qu’un seul intermédiaire. 17. Mettre fin aux subventions publiques pour les retenues de substitution pour l’agriculture intensive. Ces retenues sont des réserves de stockage d’eau (aussi appelées « bassines ») exclusivement destinées à l’irrigation, alimentées par les eaux pluviales et déconnectées du milieu naturel. Ces dispositifs, dont l’agriculture intensive est aujourd’hui très dépendante, présentent des conséquences majeures sur les milieux et la ressource en eau. Ces pratiques doivent cesser pour permettre un vrai changement de modèle agricole. 18. Mettre les moyens nécessaire pour protéger réellement les sites Natura 2000 (il s’agit d’un réseau de sites naturels ayant une grande valeur patrimoniale, par la faune et la flore exceptionnelles qu'ils contiennent, avec pour objectif de maintenir la diversité biologique de ces milieux, dans une logique de développement durable des territoires) : en augmentant significativement les moyens financiers nécessaires à leur bonne gestion et en n’y implantant pas d’infrastructures industrielles telles que les parcs éoliens et photovoltaïques. 19. Créer un réseau de forêts en évolution libre (c’est-à-dire non cultivées) couvrant environ 5 % de la surface forestière française comme cela existe en Allemagne. Cela permet notamment d’augmenter la biodiversité (insectes, champignons, lichens...) liée aux vieux peuplements et bois morts 20. Accélérer la création ou l’extension de 20 réserves naturelles nationales prévues dans le plan biodiversité du Gouvernement d’ici la fin du quinquennat, en donnant des consignes claires aux Préfets. 21. Lutter contre la pollution lumineuse, en supprimant toutes les aides et dispositifs publics soutenant actuellement les éclairages les plus néfastes pour la biodiversité. Conditionner les soutiens financiers publics à l’éclairage à des critères permettant de ne pas nuire aux paysages et la biodiversité 22. Relancer la protection des zones humides (mangroves, deltas, marais et estuaires) par l’acquisition foncière, avec un objectif chiffré pour le mandat, et exiger des Agences de l’eau un soutien à la restauration massive des grandes zones humides. Grâce à leur végétation, les milieux humides protègent les rives et les rivages contre l’érosion ; ils peuvent stocker l’eau dans le sol ou la retenir à leur surface, et permettre de diminuer l’intensité des crues et les dommages causés par les inondations. 23. Restaurer la continuité écologique des fleuves et rivières, permettant ainsi une libre circulation des organismes vivants, en effaçant un maximum d'ouvrages (barrages, écluses, seuils, moulins…, plus de 60 000 recensés en France sur les cours d’eau), qui sont aujourd’hui des obstacles et créent des perturbations pour les écosystèmes. 24. Mettre en place une véritable stratégie de co-existence avec les grands prédateurs (loup, ours…) avec comme priorité l’extension et l’amélioration des moyens de protection : mettre un terme au braconnage du Lynx dans les Vosges et le Jura qui a quasiment fait disparaître l’espèce, couplée à une politique de réintroduction par le renforcement d’au moins 10 individus ; conforter la population d’ours dans les Pyrénées. 25. Créer une brigade spéciale (cynophile) de lutte contre les usages de produits toxiques (de nombreuses espèces, et en particulier des rapaces, sont victimes de l’usage d’appâts empoisonnés majoritairement à base de produits interdits) 26. Conditionner la mise en œuvre de l’arrêté Bromadiolone dans les départements concernés à la protection stricte des prédateurs naturels (renard, mustélidés,…) et des micromammifères, 27. Lutter contre le trafic d’espèces sauvages : interdire le commerce en ligne d’animaux vivants ainsi que l’importation de trophées de chasse d’espèces menacées 28. Professionnaliser et sécuriser financièrement les Centres de sauvegarde des animaux en détresse qui rendent des missions de service public et ne bénéficient d’aucun soutien de la part du secteur public 29. Faire du bien-être animal y compris de la faune sauvage une des grandes lois du quinquennat : mettre en place une commission sur la cause animale pour un travail préparatoire et méthodique. 30. Remettre le permis de chasse national à son prix initial 31. Mettre fin aux pratiques de chasse cruelles et moralement inacceptables, en particulier : la chasse à courre, la vénerie sous terre des renards et blaireaux, les piégeages dits « traditionnels » et la persécution des animaux considérés comme « susceptibles d’occasionner des dégâts » (anciennement appelés « nuisibles ») 32. L’obtention du dimanche sans chasse pour un meilleur partage de l’espace public 33. L’arrêt de l’élevage et des lâchers d’animaux à seule fin cynégétique 34. Le retrait des espèces en mauvais état de conservation des listes chassables 35. Le remplacement du plomb par l’acier dans les munitions (pollution) 36. La multiplication des contrôles et le renforcement des sanctions à l’encontre des contrevenants 37. L’abandon du projet de réouverture des chasses présidentielles 38. L’interdiction du prosélytisme de la chasse et des armes dans nos écoles
Lire une autre au hasard