Quel est aujourd'hui pour vous le problème concret le plus important dans le domaine de l'environnement ?
La biodiversité et la disparition de certaines espèces
Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ?
Les animaux sauvages au sens large (insectes, oiseaux, mammifères...) disparaissent à grande vitesse. Un consensus existe pour s’en inquiéter et c’est une bonne chose. Pourtant, enrayer ce phénomène n’est pas simple puisque ses causes sont probablement multiples et liées entre elles. Il faut malgré tout agir ! L’action la plus directe et donc à décréter au plus tôt consisterait à interdire la chasse des animaux sauvages, quels qu’ils soient et sur tout le territoire. Les objections classiques concernant la necessaire régulation des especes, le caractère nuisible de certaines d’entre elles ne tiennent pas: les espèces se régulent très bien sans intervention humaine comme on peut l’observer dans tous les espaces naturels protégés. Même les sangliers, supposés pulluler, sont en fait nourris par les chasseurs. Un site de nourrissage actif est situé tout près de chez moi! La chasse me semble donc devoir être totalement et rapidement prohibée afin de permettre aux populations d’animaux sauvages, quels qu’ils soient, de se reconstituer. Il y a de l’espoir: le parc national de Port Cros, la zone interdite entourant la centrale de Tchernobyl démontrent la capacité de la nature à se régénérer pour peu qu’on lui en laisse la possibilité.
Diriez-vous que votre vie quotidienne est aujourd'hui touchée par le changement climatique ?
Non
À titre personnel, pensez-vous pouvoir contribuer à protéger l'environnement ?
Oui
Si oui, que faites-vous aujourd'hui pour protéger l'environnement et/ou que pourriez-vous faire ?
Nous trions nos dechets, je fabrique de la lessive à partir de produits naturels.
Qu'est-ce qui pourrait vous inciter à changer vos comportements comme par exemple mieux entretenir et régler votre chauffage, modifier votre manière de conduire ou renoncer à prendre votre véhicule pour de très petites distances ?
J habite en zone rurale difficile de se passer de voiture....
Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu'il existe des solutions alternatives plus écologiques ?
Oui
Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à changer de mode de chauffage ?
J’aimerais installer des panneaux photovoltaïques sur le toit de ma maison. Malheureusement, la nécessité de rester tributaire d’un réseau pour les heures sans lumière rend l’équation financière complexe. Cela me parait du au prix des abonnements qui devient colossal si on vise une consommation très faible d.electricite exogène. Il me semble pourrait consister en la suppression de cet abonnement qui est illogique: par exemple, comment’ le justifier pour une résidence secondaire occupée quelques mois dans l’annee?
Avez-vous pour vos déplacements quotidiens la possibilité de recourir à des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle comme les transports en commun, le covoiturage, l'auto-partage, le transport à la demande, le vélo, etc. ?
Oui
Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à utiliser ces solutions alternatives ?
Je’ pourrais prendre le train pour aller travailler, toute personne ayant déjà essayer de prendre le TER dans la région PACA comprendra pourquoi je n’en le fais pas!
Et qui doit selon vous se charger de vous proposer ce type de solutions alternatives ?
La région devrait se saisir de toute opportunité pour retirer la gestion des ter à la sncf. En effet, en région PACA, entre les jours de grève, les retard et les annulations‘ non signalées, prendre le train au quotidien relève du masochisme!
Que pourrait faire la France pour faire partager ses choix en matière d'environnement au niveau européen et international ?
Montrer l.exemple!
Y a-t-il d'autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?
J’en trouve abherent que les traitements phytosanitaires, autres que ceux autorisés en agriculture biologique, puisssent être utilisés sur la vigne. Le vin n.etant pas une denrée de première nécessité rien n’en justifie la recherche de haut rendements à tout prix. Habitant une zone viticole, J’observe tous les ans, d’avril à août, que les parcelles sont traitées au moins une fois par semaine au détriment de la nature, de la santés des agriculteurs et des habitants.
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