Quel est aujourd'hui pour vous le problème concret le plus important dans le domaine de l'environnement ?
La biodiversité et la disparition de certaines espèces
Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ?
mettre en place une politique autoritaire pour la gestion des déchets.
Diriez-vous que votre vie quotidienne est aujourd'hui touchée par le changement climatique ?
Oui
Si oui, de quelle manière votre vie quotidienne est-elle touchée par le changement climatique ?
canicule et sècheresse, absence de neige.
À titre personnel, pensez-vous pouvoir contribuer à protéger l'environnement ?
Oui
Si oui, que faites-vous aujourd'hui pour protéger l'environnement et/ou que pourriez-vous faire ?
changer les habitudes de consommation, favoriser les circuits courts, éviter les grandes surfaces, ne consommer que des produits locaux et de saison. Limiter les emballages, trier les déchets.
Quelles seraient pour vous les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier pour vous inciter à changer vos comportements ?
pas de besoin d'incitation financière, il faut de l'information, de l'éducation, de la responsabilisation de tous.
Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu'il existe des solutions alternatives plus écologiques ?
Non
Avez-vous pour vos déplacements quotidiens la possibilité de recourir à des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle comme les transports en commun, le covoiturage, l'auto-partage, le transport à la demande, le vélo, etc. ?
Oui
Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à utiliser ces solutions alternatives ?
vélo électrique : prime aide à l'achat. Créer un vrai réseau sécurisé de pistes cyclables sur tout le territoire.
Et qui doit selon vous se charger de vous proposer ce type de solutions alternatives ?
L'état, chaque commune.
Y a-t-il d'autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?
diversifier et inventer des énergies renouvelables productrices de 0 déchets. Pour les entreprises, généraliser l'intéressement avec pour seuls objectifs, des objectifs écologiques. Cesser de diaboliser le diesel.L'utilisation de la TVA comme variable d'orientation de la politique écologique pourrait être une solution. Les diverses taxes et aides à la transitions écologique sont trop complexes et méconnues et/ou nécessitent des démarches administratives lourdes. La TVA est la taxe la plus simple à gérer puisque tout achat y est soumis sans aucune formalité administrative. il suffit de l'ajuster en fonction des objectifs politiques fixés. Si les objectifs sont écologiques, il suffit de baisser la TVA sur tous les produits définis comme écologiques (matériaux pour isoler une toiture, produits locaux, produits recyclables). Ainsi, plutôt qu'une prime à l'isolation, la prime est directement identifiable dans le devis fait par l'artisan. A contrario, tout produit considéré comme polluant (produit peu ou pas recyclable, transport polluant, fabrication non respecteuse de l'humain...) verrait sa TVA augmentée. Financièrement, ces modifications de TVA doivent permettre de garder au pire l'équilibre budgétaire par rapport à la TVA actuelle, au mieux de faire des bénéfices réinvestis directement dans la transition énergique. NB: ce même principe pourrait être appliqué en fonction de l'utilité du produit: faible TVA pour les produits et services obligatoires (produits alimentaires de première nécessité par exemple), et forte TVA sur les produits de luxe (voitures de grosse cylindrée par exemple).
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