Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?
la discrimination des pères au regard des mères pour la garde des enfants. une discrimination et une absence de neutralité des services sociaux et des assistantes sociales et autres services sociaux dont les métiers sont occupés par 95% de femmes dans les conseils généraux ; et qui au nom de la maternité, font violences aux enfants en limitant leurs relations avec le père car hors de leurs convictions de faire confiance aux pères. Et ce, en dépit de mères ne s'étant jamais occupées de leur enfant auparavant. Une prime discriminante à la parole des mères et aux allégations des mères pratiquants l'aliénation parentale, avec la complicité volontaire ou non de psychologues et de psychiatres.
Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?
Pour supprimer cette discrimination contre les pères et la résidence alternée : que les services de l'état soient neutres : neutralité des assistantes sociales et des médecins de la pmi. intervention de services sociaux d'autres départements et enquêtes sur départements discrimatoires. Que lorsqu'une enquête psychologique est demandée par le juge des affaires familiales, que l'expert du père soit différent de l'expert de la mère pour éviter l'utilisation de mensonges manipulatoires des mères qui justifient des rapports contre les pères. Allégations jamais vérifiées pour l'instant par les experts (psychiatres et psychologues) puisque la parole des mères suffit et que celle des pères ne vaut rien, en violation avec les principes républicaines. l'obligation que l'expert s'intéresse à la personnalité du père lors de son expertise, et non à la personnalité des pères décrite par les mères pratiquants l'aliénation parentale. L'obligation de deux experts différents pour la mère et le père est indispensable. Des mères n'ayant jamais changées une couche, peuvent parfaitement convaincre les acteurs sociaux que le père s'occupe mal de l'enfant. Le père reste passif pour éviter que l'enfant soit mis à la DAS, et doit constamment apporter des preuves : s'il se défend, il fait une déni et s'il ne se défend pas il est considéré comme acquiesçant aux multiples reproches qui se mettent à lui tomber dessus, qu'il fasse blanc ou qu'il fasse noir, car on peut lui dire tout et son contraire en pure subjectivité. plus de 3200 suicides de pères par an. plus de 3200 suicides de pères condamnés à mort par les mères. Certains ont réussi à commuer leur peine, grâce de dizaines de témoignages, qui cependant, ne font qu'atténuer les sanctions contre eux : puisqu'ils sont coupables d'être père et de ne pas avoir l''instinct de s'occuper des enfants. C'est faire violence à l'enfant, que ce dernier voit son le père au mieux 10% du temps ; en grande violence contre l'enfant qui est attaché à la personne qui change 80% des couches , lui donne à manger et le couche : le père. Les attaques ne vont pas vers les pères qui ne se sont pas occupés de leur(s) enfant(s). Mais vers ceux qui s'en occupent et qui veulent continuer de s'en occuper.
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