Intégralité de la contribution intitulée "Devenir Français: une Odyssée."
Voici l'ensemble des réponses fournies par un contributeur du site officiel aux questions du thème Démocratie et citoyenneté le 14 mars 2019 à Nancy .

En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?
Non

Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :
Une mauvaise chose

Pourquoi ?
Dans la mesure ou son non cumul rompt le lien, entre la réalité quotidienne des citoyens qui peut être portée par les élus locaux que sont les maires, et le processus vertical d'élaboration des lois et des règlements votés par le parlement, qui seront amenés à régir ce quotidien. Pour que la règle soit pertinente, je pense que: - sur cette question fondamentale de la pertinence législative, il nous faut définir un concept de cumul complémentaire, qui puisse allier simultanément les dimensions Exécutive Local et Législative (Ex : Sénateur-Maire). - Ce cumul ne pet être supérieur à 2 mandats. - En raison de son caractère prestigieux l'exercice d' un mandat de niveau national ne doit pas donner lieu à une quelconque indemnité, l'élu devant être pris en charge par notre Etat. En revanche il faut prohiber: - les cumuls de mandats exécutifs, et ce, quelque soit son nveau (Local, départemental ou Ministre: Ex Maire et président d'un E.P.C.I). - les cumuls de même Qualité (Ex: Conseiller Départemental + Conseiller Régional + Conseiller Municipal), et en renfort de à cette mesure, elle doit être croisée avec une interdiction stricte de cumul d'indemnités. En résumé, en matière de mandat la règle doit être la suivante: Strictement UN et UN SEUL Mandat par citoyen, à l'exception du mandat législatif. D'autre part, L'indemnité de tous les élus doit être déclarée au fisc, et soumise à l'impôt sur le revenu.

Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?
A l'heure de révolution numérique chaque français, parle biais d'une Chambre Numérique Législative et Référendaire Populaire et citoyenne, peut représenter et s'exprimer au nom de la Nation, rendant ainsi obsolète la fonction de Député. C'est pourquoi je pense que l'Assemblée Nationale doit être supprimée au profit de cette agora numérique, dont les modalités de vote devront être précisés(Quorum etc). Cette chambre numérique doit être: - La Chambre de la décision de promulguer ou d'abroger une loi. - La Chambre des questions et des référendaires. - La Chambre du contrôle du gouvernement et de sa révocation. Quant au Sénat, il doit être renforcé et réformé: - Les sénateurs doivent être des élus locaux élus au suffrage universel à la proportionnelle intégrale, d'où devra émerger une coalition, un gouvernement et un premier ministre. - La Chambre Sénatoriale aurait pour fonction: - De proposer des lois à la Chambre Citoyenne et populaire. - De proposer le budget aux votes de la Chambre Citoyenne et populaire - D'amener son expertise administrative et juridique dans l'élaboration des lois. - D'orchestrer les débats politiques sur les lois. En résumé, le Senat serait la Chambre des débats, et la Chambre Citoyenne et Populaire celle des Décisions et de la conclusion de ces débats.

Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?
Oui

Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?
L'intégration ou bien l'assimilation en tant qu'étranger dans une nouvelle Nation, en l'espèce la France, ne peut être considéré comme un processus abouti sur base d'une réunion des indicateurs suivants: - Demeurer en France. - Etre titulaire d'une pièce d'identité française. - De travailler en France. - Etre marié à un français ou une française. - La scolarisation Ces critères sont purement formels, et ne garantissent en rien au fond, qu'une personne étrangère à fait le deuil de sa culture d'origine au profit d'une autre. Ces critères ne sont que les étais d'un ersatz d'intégration. S'intégrer c'est changer de Culture, et réduire la réussite de ce processus douloureux, violent, long et très ardu, à ces quatre critères, c'est s'exposer à des désillusions sociétales et des risques pour la cohésion nationale. En effet, la volonté de s'assimiler dans une autre société, est le résultat d'un long processus de renoncements sacrificiels de ce qui à construit une personne originellement. Ainsi changer d'origine c'est renoncer: - A sa langue et à penser dans cette langue. - A ses traditions vestimentaires, culinaires, familiales… - A sa religion, parfois. - A sa nationalité. - A son pays (son histoire, son territoire). - A sa famille, son nom et son prénom, ses amis. - A parler de son pays, et faire allusion à ses origines. - A ses souvenirs, et à toute nostalgie. Ainsi changer de nationalité est une véritable odyssée, dont l'issue est d'autant plus incertaine que la culture d'origine est éloigné de notre culture judéo chrétienne, voir quasiment impossible, pour les personnes porteuses d'une culture d'obédience musulmane. Par conséquent l'obtention de la Nationalité Française doit être effective au terme de ce très long processus d'assimilation (30 à 40 ans), et, conditionnée à la vérification, d'une part, comme prérequis à l'enracinement de la culture française, d'une déculturation absolue du candidat, et d'autre part, que notre culture française à pris possession et en possession du futur Français(e). Dans cette nouvelle acception, droit du sol et droit sang sont alors caduques. Toutefois ce nouvel esprit porté par un cadre législatif et réglementaire, pour renforcer son efficience et son application, doit cependant s'accompagner de mesures nécessaires, qui devront, pour certaines, rétroactives sur 40 années d'immigration débridée. Tout d'abord au niveau du profil des postulants Français, ceux-ci devront être: - devront être âgés entre 18 et 30 ans, et demander la mise en œuvre de cette procédure. - Célibataire sur le plan familiale et être en bonne santé, et les femmes non enceintes. - Détenteur de compétences professionnelles avérées. - En mesure de parler et écrire le français couramment. - Issus de cultures judéo-chrétienne, hispanique, scandinave, slave, asiatique, latine, anglosaxonne, germanique. Ensuite au niveau de la procédure d'intégration et d'obtention de la nationalité française: -Cest l'occupation d'un emploi qui devra être la condition siné qua non à l'obtention d'un permis de travail renouvelable, pour initier la procédure (en conséquence la France devra publier, dans une situation de plein emploi, à l'international une bourse des emplois non pourvus). - Sa durée doit se situer entre 30 à 40 ans. - Le quotas de postulants doit être de 20000, à parité hommes femmes, sur la base d'un appel à candidature tous les 10 ans, ou bien de 2000 par an. - Sa clôture, suite au contrôle de son aculturation et de sa maîtrise de la culture française, doit aboutir, soit à l'expulsion de l'étranger, soit à son obtention de la nationalité française. Enfin: - Il nous faut renoncer, en raison de leur fort ressentiment anticolonialiste, et/ou de l'incompatibilité de l'islam avec notre principe républicain de Laïcité, à toute immigration africaine et musulmane. - Le droit d'Asile est un droit de protection politique qui se doit d'être renforcé, par l'impossibilité absolue qu'il puisse conduire automatiquement à l'obtention de la nationalité française, qui doit relevé d'une autre procédure totalement indépendante de c droit d'Asile(avec effet rétroactif). - Les étrangers ayant fait l'objet de condamnations en France ou dans leur pays, se verront opposer aucune possibilité de devenir français, avec effet rétroactif. - avec effet rétroactif, tous les étrangers qui ont obtenus la nationalité française soit par,regroupement familiale, la scolarisation de leurs enfants, la polygamie, le mariage ou en s'étant introduit illégalement sur notre territoire, doivent être déposséder de la nationalité française au profit d'un permis de travailler ou de séjours renouvelable, et pour ceux qui le souhaitent,engager la procédure d'assimilation. -Le permis de travailler doit renouvelable sur une durée de 40 ans, et le permis de séjour d'une durée d'un an non renouvelable, sauf, si l'étranger lors de ce séjours à trouver un emploi. - Rétroactivement la nationalité Française doit être retirée aux enfants nés e mariage mixte, qui se verront attribués par défaut celle du parent étranger, avec la possibilité dès leur majorité d'engager la demande d'obtention de la nationalité Française dans le cadre de cette nouvelle procédure. -Contester en justice, toutes les conséquences qu'a engendrées par l'application de ce principe discriminatoire et anti républicain de discrimination positive. -tout étranger titulaire d'un permis de travail ou de séjours, est soumis à la Loi Française, mais privé de tout droit d'accès à notre dispositif de protection social (Allocations diverses et variés...). La personne de nationalité étrangère doit s'assumer seul par le biais de son salaire. - statut de binationaux doit être supprimer, car il secondarise et déprécie la culture française au profit de la culture d'origine, faisant de ces personnes des étrangers qui bénéficient de toutes les avancées sociales liées au fait d'être français de la nationalité française.


Lire une autre au hasard
Retour aux Thèmes