Intégralité de la contribution intitulée "IMMIGRATION limiter les migrations climatiques"
Voici l'ensemble des réponses fournies par un contributeur du site officiel aux questions du thème Démocratie et citoyenneté le 18 février 2019 à Ascain .

Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?
L'homme est un animal sur une planète. De la même manière qu'on protège le loup, l'ours ou les espèces en voie de disparition, il faut travailler sur son environnement. Comme tout animal, il fuit le bruit et les conditions de vie difficiles pour aller vers ce qui lui semble meilleur ou plus sur pour sa progéniture. Son avenir. C'est naturel. La logique territoriale l'est aussi. L'espace, le territoire est vital et on le protège jalousement. Comme le lion ou tout autre animal qui en a besoin. Alors conscient de ça, l'homme doit s'organiser pour mettre à disposition un territoire viable pour chacun. Pour l'instant, l'impact de l'homme sur le climat réduit cet espace de plus en plus à quelque milliers de km de part et d'autre de l'équateur de la planète. Nous devons travailler pour élargir cette bande viable et faciliter l’accès à l'eau et à la nourriture. Ensuite que chacun organise sa vie sociale comme il le peut. Les clans, les tribus, les villages, ne sont pas des drames, mais des débuts de quelque chose. L'homme ne sera de toute façon jamais assez sage pour ne faire que du bien. Mais il est toujours parvenu à supprimer les pires même si c'est toujours tard. Bref, nous devons investir sur la qualité environnementale pour agrandir la zone viable pour l'homme. Sans quoi, toute le monde va se concentrer sur une bande équatoriale qui deviendra explosive. Créer un fond de financement planétaire ? mais qui sera assez sage pour le gérer?....


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