En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?
J’ai constaté depuis forts longtemps ce que j’appel un « schisme profond entre 2 mondes français ». Le monde des entreprises associées à des individus fières de leur action voyant le risque comme une qualité exceptionnelle, mais souvent avec un sentiment caché d’infériorité les conduisant à déclarer que la théorie, les gens qui pensent sont farfelus. Le monde des intellectuels, qui ne sont pas forcement intelligents ou cultivés mais qui s’y référèrent y associant le côté sensible, artistique, sociale, sans forcement avoir eux même une générosité et encore moins le sens du risque et entrevoient le monde des entrepreneurs comme des gens peu scrupuleux, grossiers, seulement intéressés à l’argent. Alors ce sont 2 mondes qui se crachent à la figure. Et l’on tombe vite dans cette caricature qui aussi sépare la droite de la gauche selon cette dialectique spirituelle. Quand par exemple les étudiants manifestent dans la rue contre le financement de la recherche par le privé, n’est pas cela qui se lit en filigrane ? Or pourtant nous avons besoins de toutes les compétences et surtout de toutes les formes d’esprits orientéee dans une même direction plutôt que cette guerre invisible qui maintenant commence à trouver des expressions comme le terme de « grève froide » tellement ceci craquèle de toute part. ET je suis convaincu que celui qui décidera de passer les barrières de ces tabous et d’user de ses plus belles qualités humaines pour décloisonner, apaiser et mettre en cohérence ces 2 mondes, la France qui comme tout pays pourrait s’analyser comme un malade psychiatrique marqué par son histoire pourra enfin passer cette période d’adolescence.
Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?
J’ai constaté depuis forts longtemps ce que j’appel un « schisme profond entre 2 mondes français ». Le monde des entreprises associées à des individus fières de leur action voyant le risque comme une qualité exceptionnelle, mais souvent avec un sentiment caché d’infériorité les conduisant à déclarer que la théorie, les gens qui pensent sont farfelus. Le monde des intellectuels, qui ne sont pas forcement intelligents ou cultivés mais qui s’y référèrent y associant le côté sensible, artistique, sociale, sans forcement avoir eux même une générosité et encore moins le sens du risque et entrevoient le monde des entrepreneurs comme des gens peu scrupuleux, grossiers, seulement intéressés à l’argent. Alors ce sont 2 mondes qui se crachent à la figure. Et l’on tombe vite dans cette caricature qui aussi sépare la droite de la gauche selon cette dialectique spirituelle. Quand par exemple les étudiants manifestent dans la rue contre le financement de la recherche par le privé, n’est pas cela qui se lit en filigrane ? Or pourtant nous avons besoins de toutes les compétences et surtout de toutes les formes d’esprits orientéee dans une même direction plutôt que cette guerre invisible qui maintenant commence à trouver des expressions comme le terme de « grève froide » tellement ceci craquèle de toute part. ET je suis convaincu que celui qui décidera de passer les barrières de ces tabous et d’user de ses plus belles qualités humaines pour décloisonner, apaiser et mettre en cohérence ces 2 mondes, la France qui comme tout pays pourrait s’analyser comme un malade psychiatrique marqué par son histoire pourra enfin passer cette période d’adolescence.
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