En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?
Au conseil municipal, donc au maire et au député et dans une moindre mesure aux conseillers régionaux. Ce sont des représentants élus, que l'on rencontre et qui sont proches de la population. Ils connaissent nos problèmes, on peut leur en parler et si le gouvernement veut bien les écouter (ce qui n'est pas souvent le cas) résoudre les problèmes dans un cadre national pour le bien commun de tous.
En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?
Oui
Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?
Des syndicats représentatifs de tous les gens qui travaillent quel que soit leur statut (salariés, fontionnaires, etc...). Des organisations professionnelles pour les entrepreurs
Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?
Il faut faire en sorte que les syndicats et les organisations professionnelles soient vraiment représentatives de leurs mandants. Il faut par exemple rendre l'adhésion à un syndicat pratiquement obligatoire pour les salariés et de même pour tous les autres travailleurs (commerçants, artisans et autres). Il y aurait de nouveaux organismes qui se créeraient et pourraient représenter ceux qui sont délaissés aujourd'hui. Il faudrait évidemment définir des règles strites pour leur création pour éviter leur prolifération éventuelle.
Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :
Une bonne chose
Pourquoi ?
Ils doivent se consacrer au rôle que leur donne notre constitution. Mais ils pourraient avoir un mandat local non exécutif qui leur permette de rester en contact avec les citoyens et leurs problèmes. Ils doivent aussi avoir suffisamment de moyens, donc de collaborateurs, pour bien faire leur travail.
Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?
Il faut garder nos lois actuelles qui permettent d'avoir une majorité parlementaire bien claire après les élections législatives. On peut imaginer une proportion d'une dizaine de pourcent, pas plus, de députés et de sénateurs élus à la proportionnelle pris sur des listes présentées par les partis politiques.
Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?
Oui
Si oui, lesquels ?
Il faut réduire le nombre de parlementaires mais leur donner les moyens financiers pour bien exécuter leur travail : très bonne rémunération leur permettant d'avoir de bons collaborateurs et éviter l'attraction pernicieuse des lobbies. Il faut supprimer les CES qui ne sont pas des élus mais des personnes qu'on place ici car on ne sait qu'en faire! C'est pour elles une opportunité de se faire reconnaitre alors qu'elles n'avaient pas les compétences en milieu économique.
Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?
Elle est beaucoup trop faible aujourd'hui. Il faut dès l'école primaire et dans les cours du collège et du lycée faire comprendre aux enfants que voter est un devoir de citoyen, que c'est important si l'on veut être écouté et jouer un rôle dans la vie du pays. Il faut les motiver pour que, s'exprimer par un vote, devienne une évidence. Ce n'est pas l'état qui doit obliger à voter, mais sa propre conviction.
Faut-il prendre en compte le vote blanc ?
Oui
Si oui, de quelle manière ?
Il faut le prendre en compte comme des voix exprimées car cela voudra dire que la personne n'est pas d'accord avec ce qu'on lui propose au vote. Cela ne changera pas la majorité mais fera réfléchir ceux qui seront élus et conduira parfois à un nouveau vote.
Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?
En premier, il faut supprimer un grand nombre d'agences qui ne servent à rien, qu'à recaser des gens, la plupart du temps incompétents. Il faut rétabli au niveau national un organisme du type ""plan"", pour proposer une politique et une stratégie à long terme pour les aspects sociétaux et économiques. On travaille aujourd'hui à cours terme, au jour le jour (lois de circonstances, émotionnelles). Après présentation au pays et larges discussions, ces grandes orientations seraient votées par le parlement de nouveau type. Ce plan serait revu régulièrement. Il éviterait que tout soit chamboulé après chaque élection en maintenant la poursuite des grandes orientations. On aurait sans doute ainsi évité la lente désindustrialisation de la France. Il existe dans de nombreuses villes des comités de quartier qui traitent aujourd'hui des problèmes locaux. Ils pourraient bien représenter un moyen de démocratie participative si on leur donne plus de pouvoir et si on étend leurs domaines de réflexion. Leur durée de vie doit être limitée pour que leurs membres ne deviennent pas des politiciens. Ce sont eux qui représenteraient les citoyens et qui feraient passer les informations dans les deux sens. Faut-il élire ces représentants ou les désigner? La question se pose. Je pense qu'il faut prendre des volontaires et donner des mandats de trois ans au plus. Les idées remonteraient soit vers les entités locales concernées (communes, métropoles, régions) soit vers l'état via les élus et les préfets. Les autorités doivent prendre l'initiative pour que cela se mette en place.
Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?
Non
Si oui, comment ?
En France le référendum ne sert à rien, juste à ce que certaines personnes se défoulent ou essaient de se donner de l'importance comme M Fabius en 2005 en racontant n'importe quoi!
Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?
Cette question est redondante avec la question 11. Il ne faut pas créer de nouvelles instances. Si on a des instances participatives qui représentent les citoyens, l'utilisation de l'argent public sera discutée et même d'une certaine manière contrôlée. Il faut aussi laisser les instances représentatives élues faire leur travail et surtout appliquer le programme sur lequel elles ont été élues.
Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?
Les sénateurs sont sensés représenter les régions. Ils doivent jouer leur rôle pleinement et devraient faire remonter les problèmes spécifiques des divers groupes écononmiques et sociaux régionaux et même proposer des solutions. On constate aujourd'hui que ce n'est pas vraiment le cas et que les sénateurs représentent plus leur parti politique que leur région. Il faudra peut être revoir leur mode d'élection et proposer des électeur plus représentatifs des citoyens et des milieux économiques. Quant au CES, ils sont mafiatés par les syndicats, composés de gens qu'on a voulu récompenser, n'ont aucun pouvoir et n'apportent rien du tout à la société. Dommage, car l'idée au départ était bonne de mettre ensemble les forces vives des régions.
Faut-il transformer [nos assemblées, dont le Sénat et le CESE] ?
Oui
Si oui, comment ?
Supprimer les CES et revoir le mode d'élection des sénateurs pour qu'ils soient représentatifs du territoire et non de leur parti politique.
Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?
La religion ne doit en aucun cas interférer avec la gouvernance de l'Etat. Elle doit rester une affaire privée pour chaque citoyen. Les signes religieux personnels peuvent être tolérés s'ils ne sont pas utilisés pour du prosélytisme agressif, ne portent pas préjudice à l'ordre public et respectent les valeurs de la République. On peut aussi accepter des manifestations publiques religieuses liées aux traditions de chaque religion dans la mesure où elles sont autorisées, respectent aussi les valeurs de la République et ne risquent pas de troubler l'ordre publique; Le point fondamental dans ce domaine est la tolérance. Cette valeur républicaine doit être enseignée dès la petite enfance dans les écoles à tous les enfants. L'Etat doit exercer un contrôle très strict des enseignements pratiqués dans les diverses écoles et organismes de formation privés du pays, même s'ils ne sont pas conventionnés. La formation des ""prêtres"" des religions doit se faire principalement en France et il faut interdire les interventions étrangères surtout si elles ne sont plus ou moins occultes. Toute intervention de ce type, quel qu'en soit l'objet, doit être autorisée par l'Etat. L'Etat doit aussi exiger que chaque religion désigne des interlocuteurs représentatifs, ayant une certaine autorité dans sa religion pour exercer un dialogue constructif, même si cela doit conduire à des modifications de leur organisation. Les prêches doivent être faits en langue Française impérativement.
Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?
Pour répondre à ces exigences, il faut d'abord que ces valeurs soient connues. Elles doivent être enseignées partout et constamment rappelées : écoles, collèges, lycées, organismes de formation, associations diverses. Mais elles seront respectées uniquement si l'exemple vient de ceux qui ont des responsabilités dans l'Etat. C'est pour cela que tout manquement à ce niveau doit être sanctionné sans état d'âme par la loi et la justice. Sans cela, ses valeurs perdent toute crédibilité et on en arrive à ce qui se passe actuellement où plus personne ne respecte la loi ou les règles du vivre ensemble. Là encore la tolérance et le respect d'autrui sont des valeurs fondamentales à bien imprimer dans la tête de chaque citoyen.
Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?
Pour qu'un citoyen s'engage, il faut qu'il soit sur que son action va servir à quelque chose et qu'elle soit reconnue. Il y a sans doute une préparation à cela dès l'enfance. Expliquer que nous devons être solidaires, que nous n'avons pas tous les mêmes chances mais que nous pouvons, chacun là où nous sommes, aider les autres à améliorer leurs conditions. Que ce soit en participant à la vie du pays en entrant dans les instances du pouvoir local, régional ou national, toujours au service des autres, ou dans des associations de toutes sortes, par exemple, sportives pour les jeunes, caritatives ou humanitaires pour ceux qui sont dans le besoin, on participe à vie du pays. Il faut donc faire comprendre à chacun qu'il peut apporter quelque chose à ses concitoyens en s'engageant dans la société. Peut être qu'il faudrait mieux mettre en exergue les actions les plus représentatives de ce type d'engagement et récompenser ceux qui en ont été les acteurs. C'est à ceux qui ont du pouvoir de le faire.
Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?
La tolérance, le sens du devoir, le respect des autres, le respect des lois et des règles qui ont été décidées pour permettre la vie en commun, la solidarité envers autrui
Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?
Il faut développer ces comportements dès l'enfance. On en revient toujours à l'importance de l'éducation initiale. Il faut que les adultes aient aussi eux-mêmes ces comportements, notamment ceux qui ont des responsabilités dans la société. Toute déviance devrait être sanctionnée et inversement, tout bon comportement valorisé et donné en exemple. Respecter la loi, l'autorité, payer ses impôts, être honnête, c'est montrer qu'on a le sens du devoir, c'est se montrer solidaire de ceux qui ont besoin d'être aidés par la communauté. Si la formation technique professionnelle était sérieuse, on n'aurait pas autant de personnes marginalisées qui sont au chômage, qui n'ont pas de ressources et qui ont alors des comportements civiques déviants. Cette formation est totalement à revoir et doit être prise au sérieux par tous les acteurs économiques et non pas laissée à des organismes qui ne cherchent qu'à se faire de l'argent. Il faut réformer les OPCA et en supprimer les trois quarts.
Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?
Faire ce que j'ai déjà présenté : -Eduquer les citoyens à l'école et ensuite en formation professionnelle pour ceux qui sont sortis sans métier -Donner à tous un revenu qui leur permettent de vivre décemment, y compris avec des aides sociales si besoin. Cela nécessite une diminution du chômage, notamment chez les jeunes et donc une formation professionnelle adaptée aux métiers qui recrutent. Il faut revaloriser les métiers manuels et artisanaux. Il n'y a pas de raison qu'un métier manuel ne soit pas payé au même niveau qu'un métier intellectuel. -Un logement pour tous -Développer la solidarité et reconnaître le bénévolat dans toutes les associations (éducatives, sportives, culturelles, humanitaires) qui s'occupent de la jeunesse, des personnes âgées, des handicapés, des gens dans le besoin. - Respecter toutes les personnes quelles qu'elles soient -Sanctionner sévèrement et réellement toute incivilité et toute transgression des lois et des règlements acceptés par tous. A Singapour, on paie une grosse amende si l'on jette un mégot, un chewing-gum ou un papier. La ville est propre!
Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?
Agressions dans la rue, verbales ou physiques, cambriolages des voitures et des maisons. Non respect de la propreté (jet d'ordures n'importe où, mégots, emballages...), les crottes de chiens sur les trottoirs, devant les boites aux lettres en campagne, Non respect du code de la route et des autres usagers La lutte passe par l'éducation dès l'enfance et par la répression effective et non pas par de simples rappels à la loi comme on voit le plus souvent.
Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?
Les incivilités viennent des personnes qui n'ont pas le sens des responsabilités ni du devoir. Il faut reconnaitre qu'en France, on ne fait rien pour développer ces deux aspects. Beaucoup de services sont gratuits pour l'utilisateur qui ne se rend pas compte des dépenses et services qu'il a déclenché pour avoir ce service. Qui connait aujourd'hui le cout généré par une ordonnance du médecin, un séjour en hôpital. On a le tiers payant et on croit que tout est gratuit. Alors pourquoi se gêner et essayer de minimiser ses dépenses. Comment accepter qu'on nous empêche d'utiliser un service même si on n'en a pas réellement besoin. Pourquoi payer des taxes et des impôts. Pourquoi aller vers les poubelles publiques. On jette là où l'on se trouve et l'on se rebelle si l'on nous en fait la remarque. Il faut développer le sens des responsabilités et les valeurs du vivre ensemble. Cela passe par l'école mais aussi par toutes les associations sportives, culturelles, etc...qui sont en contact et ont en charge une partie importante de la population.
Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?
Donner l'exemple en respectant les personnes, les lois, les règlements, l'environnement
Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?
Je n'ai jamais été concerné par des discriminations personnellement. Mais l'homophobie, le racisme sont intolérables.
Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?
Comme tout ce qui a été dit ci-dessus, tout passe par l'éducation dès l'enfance à la tolérance, le respect d'autrui, la solidarité.
Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?
Non
Si oui, lesquelles ?
L'allocation de solidarité doit correspondre à un vrai besoin et ainsi n'appelle pas une contre partie
Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?
La politique migratoire de la France n'est pas très claire et du coup, n'est pas maitrisée. On ne peut pas dire que nous sommes envahis par des migrants, mais ceux qui viennent ne sont pas forcément ceux que l'on aurait intérêt à accueillir. Les critères d'accueil sont - l'asile pour ceux qui sont persécutés dans leur pays - l'autorisation de séjour pour ceux dont on a besoin pour renouveler une partie de la population et pour occuper des postes de travail en France qu'on ne peut pas remplir avec les personnes présentes soit parce que le type travail n'est plus accepté, soit parce que la compétence n'existe plus. Cela sous entend que l'on définisse les besoins à l'avance et qu'on crée les structures d'accueil, y compris les compléments de formation pour ceux qui sont retenus. L'apprentissage du Français est une obligation pour tous, demandeurs d'asile ou autres. - Les déboutés doivent être réellement expulsés ou reconduits chez eux, quitte à les aider avec une indemnité conséquente. - La double peine pour les délinquants doit être remise en œuvre si elle est décidée par la justice.
En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?
Oui, il faut fixer des objectifs d'accueil en fonction des besoins qu'on doit examiner régulièrement. Ce sont là encore, des objectifs à moyen et long terme. On sait d'avance si une classe d'âge va être insuffisante pour le maintien de la population, si des besoins nouveaux vont apparaître. On peut donc avoir une idée des gens que nous pouvons accueillir. Il faudrait que l'on ait des contacts avec les pays d'immigration et que les autorisations de venir en France soient données au départ de ces pays. Cela éviterait de nombreuses OQT qui ne sont jamais respectées. Le parlement en donnera l'autorisation, mais ce n'est pas lui sans doute qui a les éléments pour décider du nombre et des caractéristiques des gens à accueillir. Il faudra sans doute créer une structure compétente au sein de celle qui va définir la stratégie économique et sociale pour la France.
Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?
Sans la planifier de manière stricte et immuable, notre pays a besoin d'une stratégie de moyen et l'on terme. Il n'y a que comme cela que l'on pourra prévoir nos besoins, en particulier en matière de compétences pour la population et de nombre de personnes nécessaires pour faire tourner le pays. Il faut donc créer les structures nécessaires, en particulier pour accueillir des migrants choisis pour répondre à nos besoins. (logements, apprentissage de la langue obligatoire, formation professionnelle, éducation pour les enfants et les conjoints, connaissance et respect de nos valeurs républicaines. Mais il faut aussi faire respecter les décisions des autorités compétentes pour ceux qu'on ne peut pas accepter.
Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?
J'ai indiqué ci-dessus comment on doit accepter les migrants choisis et leur donner les éléments qui vont leur permettre de s'intégrer tout en gardant la partie privée de leurs convictions. D'abord, en premier il faut qu'ils aient un logement, ensuite une perspective d'intégration par le travail, qu'on leur donne les moyens d'apprendre le Français rapidement et quelles sont nos exigences concernant nos valeurs, qu'on leur donne le complément de formation qu'ils ont besoin et les facilités pour leur famille et leurs enfants si besoin. Il faut exiger qu'ils deviennent des ""Français"" tout en gardant leur propre convictions, quitte à ce qu'ils les adaptent à nos valeurs.
Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?
Les prises de décisions non régaliennes qui concernent la population doivent se faire au niveau le plus proche de cette population. C'est ainsi qu'elles seront le mieux acceptées et respectées. Les 80 km/h en sont un exemple typique! Et ce n'est pas le seul.
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