Intégralité de la contribution intitulée "Lutter contre le communautarisme en France"
Voici l'ensemble des réponses fournies par un contributeur du site officiel aux questions du thème Démocratie et citoyenneté le 3 février 2019 à Paris 1er Arrondissement .

Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?
En terme de protection/valorisation de notre patrimoine, la laîcité ne s'applique pas. La France est un pays de culture judéo-chrétienne. La culture française en est imprégnée, que ce soit dans son patrimoine ou ses fêtes, par exemple. L'Etat français peut donc tout à fait intervenir et aider des évènements issus de cette tradition judéo-chrétienne, comme les crèches dans les maries, puisque son rôle est de valoriser notre patrimoine.
En revanche, la laïcité implique qu'au niveau individuel, la religion reste à la maison. L'Etat doit être ferme lorsqu'il s'agit de condamner les pratiques religieuses qui empiètent sur la sphère publique.

Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?
En rappelant à tous quelles sont nos valeurs et en sanctionnant ceux qui les refusent.

Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?
Ceux qui manifestent ostensiblement leurs pratiques religieuses dans la sphère publique. Leur rappeler nos valeurs et sanctionner si ils ne veulent pas les appliquer. Tout le monde est bienvenu en France, à condition d'adopter nos valeurs.

Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?
Montrer des exemples de fermetée.

Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?
La situation est dramatique : nous accueillons trop de populations étrangères que nous ne pouvons pas assimiler. La conséquence est une communautarisation croissante de notre société, contraire au fondement principal de la France, celui de la Nation : un territoire, un Etat, un peuple. Tant que les communautés restent à petite échelle, la situation est encore "gérable". Dès qu'une communauté, comme l'islam, numériquement croissante, se pose en alternative à notre modèle, la tension et les violences naissent.
Il faut donc ouvrir l'immigration aux populations culturellement proches et facilement assimilables. Et restreindre, voir stopper, les autres. Le temps que l'on soit à nouveau dans une situation où nous réussissons à intégrer nos nouveaux venus. Sinon, nous continuerons à fabriquer du communautarisme, source de conflits futurs.

En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?
Déjà, on peut revoir nos "obligations" d'asile. Rien ne nous oblige à de telles obligations.
Ensuite, biensûr, une politique de quotas serait bienvenue.
Enfin, nous pourrions arrêter les "automatismes", comme le regroupement familial, qui nous empêchent de contrôler l'immigration.

Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?
Encourager et valoriser les immigrés qui s'intègrent dans notre société et qui décident d'adopter nos valeurs.
Etudier les sanctions possibles pour ceux qui refusent ce principe.


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