Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?
Dans le contexte actuel ce thème préoccupe une grande majorité de Français et il est capital d' y apporter les réponses qu'attend cette majorité fidèle aux valeurs de la France
En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?
nos obligations doivent préalablement se limiter aux citoyens des pays en guerre pour protéger les personnes se sentant menacées et souhaitant se mettre en sécurité, cela ne couvre donc pas les personnes attirées par les avantages qu'ils estimeraient pouvoir obtenir de notre système à bout de souffle. Le problème des clandestins doit être résolu de façon conforme à notre droit car dans notre situation actuelle il dérive de façon dangereuse les chiffres étant particulièrement alarmants dans tous les domaines qu'hélas le pouvoir connait
Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?
Il convient de mettre en oeuvre des quotas fixés par le Parlement en concertation avec les employeurs susceptibles de fournir des emplois qui ne seraient pas en concurrence avec ceux que recherchent nos citoyens; une concertation Parlement, employeurs, syndicats représentatifs permettrait d'adapter l'immigration à nos besoins et non aux souhaits des immigrés et de ceux qui hélas les soutiennent sans en mesurerons les conséquences
Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?
l'intégration implique que les candidats démontrent préalablement qu'ils adhérent à nos valeurs et non à leurs souhaits afin de ne pas être déçus, donc ils doivent s'engager à parler notre langue couramment dans des délais raccourcis afin de s'adapter et avoir des compétences réelles, mais toute entrée doit, comme certains pays l'exigent pour nous, être assortie d'un retour au pays d'origine en cas de problème; j'ai été soumis à ce problème car on m'a demandé à mon arrivée de présenter mon billet de retour pour... le cas où, les passeurs seraient bien ennuyés. Sans cela pas d'entrée car nous ne maitrisons plus rien.
Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?
La citoyenneté a été traitée dans un autre fichier
Les multiples problèmes de sécurité que nous rencontrons nécessitent que nous prenions quelques résolutions pour rompre avec des décisions d'une époque révolue, les 30 glorieuses, car elles sont totalement inadaptées à la situation actuelle que certains épisodes des années passées nous imposent de modifier pour notre sérénité.
Il conviendrait de revenir sur: le droit du sol qui ne signifie plus rien, si des immigrés veulent devenir Français, il faut qu'ils le prouvent, cela se fait à l'âge de raison, soit à 18 ans, c'est à cet âge que nous avons le droit de voter, ce doit être un acte volontaire sous condition que le candidat ait un casier judiciaire vierge, cela calmerait certains, pour notre bien, il y a actuellement en nos prisions 15.000 ressortissants étrangers de divers pays pour 69.000 prisonniers en les extradant cela diminuerait notre déficit; mais il faut aussi mettre un terme au regroupement familial qui ne devrait désormais se limiter qu'à une seule famille et après confirmation de l'intégration. Il faudrait également ne plus accepter qu'un candidat à notre nationalité ait une double nationalité, sauf s'il appartient à la communauté européenne. Dans telle situation, n'en déplaise à certains on ne peut être Français à mi-temps, surtout avec des pays dont les structures sont fortement menacées.
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