Selon vous, l'Etat doit-il aujourd'hui transférer de nouvelles missions aux collectivités territoriales ?
Non
Estimez-vous avoir accès aux services publics dont vous avez besoin ?
Oui
Avez-vous déjà utilisé certaines de ces nouvelles formes de services publics ?
Non
Connaissez-vous le "droit à l'erreur", c'est-à-dire le droit d'affirmer votre bonne foi lorsque vous faites un erreur dans vos déclarations ?
Oui
Si oui, avez-vous déjà utilisé ce droit à l'erreur ?
Oui
Si oui, à quelle occasion en avez-vous fait usage ?
déclaration de revenus
Si vous avez été amené à demander un remboursement de soins de santé, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :
Difficultés : 1) le flou entre les différentes Assurances Maladie (Sécu, RAM...)
2) le prix exorbitant des Complémentaires Santé
Si vous avez été amené à mettre fin à votre activité, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :
Problème d'augmentation de la CSG pour ma retraite !
Y a-t-il d'autres points sur l'organisation de l'Etat et des services publics sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?
DÉVALORISATION DU TERRORISME
INTRODUCTION
Objectivement, les attentats terroristes endeuillent beaucoup moins nos pays occidentaux que ceux, plus lointains, dont souvent leurs idéologies sont issues.
Mais subjectivement, habitués que nous sommes au confort et à la sécurité, ils nous choquent, d’autant plus fortement qu’ils se produisent ici, chez nous. L’émotion qu’ils font naître alors déclenche chez nos dirigeants deux types d’action :
- des dispositifs efficaces, comme les fiches S, la collaboration internationale, etc. ;
- des attitudes contre-productives, qui involontairement encouragent les terroristes.
LE PROBLEME
Objectivement, les terroristes sont très peu nombreux et très peu armés. S’ils veulent nous effrayer, ils doivent donc amplifier leurs actes par l’image, la parole, l’information – pour frapper nos esprits à travers l’émotion et l’imaginaire.
Sur ce terrain, nous sommes très mauvais, puisque nous allons dans leur sens !
- Nous parlons de « guerre » alors que chez nous ils n’ont pas d’armée et très peu d’armes : ils peuvent alors se prétendre « soldats » ;
- Nous les nommons, nous publions leur photo, le récit et les vidéos de leurs actes, de leurs fuites, de leur quartier d’origine : ils peuvent alors se glorifier de leur célébrité ;
- Lorsque par hasard nous en capturons un, nous publions son attitude, ses silences, ses conditions d’emprisonnement, son procès : ils peuvent alors nous faire croire qu’ils sont importants, et le croire eux-mêmes…
Toutes ces contre-attitudes agissent en feed-back, encourageant les uns à commettre d’autres actes et les autres à en avoir de plus en plus peur.
PROPOSITION
Cesser de leur faire de la publicité.
Concrètement :
1) Prévenir d’abord officiellement et clairement les citoyens (presse, réseaux) du changement d’attitude et de son but, afin de ne pas donner prise aux théories complotistes ;
2) Demander à la presse de participer à cette lutte par la même discrétion ;
3) Sauf en cas de fuite et de recherche, ne plus publier d’image ni de nom des coupables.
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